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Channel: Journal de bord du Master 2 Projets Culturels dans l'Espace Public / Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
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Le Master et l'association Objet(s) Public(s) présents au festival Chalon dans la rue

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cdlrlogochalonrue__054847300_2015_29122010-copie-1.pngRetrouvez le Master Projets Culturels dans l’Espace Public et l'association Objet(s) Public(s) avec la FAI AR - Formation Avancée et Itinérante des Arts de la Rue, l’association Regards et Mouvement, l'Hostellerie de l’Ance Pontempeyrat, l’AFDAS, Pôle emploi (sous réserve) et d’autres structuresau festival Chalon dans la rue à Chalon sur Saône vendredi 20 juillet 2012 de 12h30 à 14h30 au Verger. Entrée libre !

 



Présentation du Master

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Le Master 2 professionnel Projets Culturels dans l’Espace Public est la première formation universitaire en Europe dédiée à la conception, la production et l’administration de projets artistiques en espace public. Créé en 2005 au sein de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, UFR Arts plastiques et sciences de l’art, le Master forme chaque année vingt étudiants.


Le Master s’adresse à de futurs professionnels de la conception et de la production de projets culturels, ouverts à la diversité des propositions artistiques contemporaines, en particulier dans les domaines des arts voués à l’espace public, engagés dans une réflexion sur les relations entre arts, cultures, populations et territoires, en France et en Europe. 

ecole_crayons_large.pngL'AERES, Agence d'Evaluation de la Recherche et de l'Enseignement Supérieur, a attribué en 2008 au Master Projets Culturels dans l'Espace Public l'évaluation positive la plus élevée (A+) : "formation excellente", "organisation pédagogique dynamique", "ouverture sur l'extérieur remarquable", "attractivité importante", "formation très complète", "ancrage professionnel fort" (le rapport de l'AERES dans son intégralité). Dans un nouveau rapport en 2013, l'AERES soulignait "la grande qualité du pilotage de la spécialité" et confirmait sa précédente évaluation : "originalité du positionnement de la spécialité, issue d'une analyse de la situation professionnelle ; équilibre entre enseignants professionnels et mobilisation des acquis de la recherche ; pluridisciplinarité ; large ouverture des possibilités professionnelles ; stages et partenariats avec des institutions professionnelles...". 


The Professional Masters 2 Cultural Projects in Public Space is directed towards future professionals for the conception and production of cultural projects. Open to the diversity that contemporary art offers, the masters focuses primarily on artistic fields dedicated to public space, and engaged in a reflection upon the relationships between arts, cultures, populations and territories, in France and Europe.


OBJECTIFS DU MASTER 

 

L’objectif de l’équipe pédagogique du Master est de former des professionnels ayant aiguisé leurs compétences réflexives (capables de développer une analyse critique des relations entre arts, cultures, populations et territoires), créatives (à même d’imaginer et d’accompagner des projets originaux, au sein d’équipes pluridisciplinaires, en dehors des schémas de production et de diffusion traditionnels) et techniques (ayant la maîtrise opérationnelle des principaux outils de la conception et du développement de projets artistiques, notamment dans l’espace public).


The objective of the Masters faculty is to train professionals to sharpen their analytic skills (the ability to develop a critical analysis of the relationships between arts, cultures, populations and territories), theircreative skills (so as to invent and accompany original projects, within interdisciplinary teams, outside traditional production and diffusion systems), and their technical skills (a working mastery of the principal tools for the conception and development of artistic projects, especially in public spaces).



ORGANISATION PÉDAGOGIQUE

D’octobre à mars, chaque semaine, trois à quatre jours sont dévolus aux enseignements (ateliers, cours, séminaires : 480 heures ; voir plus loin la liste des intervenants) et un à deux jours sont réservés à des missions (accompagnement d’artistes, réponse à des appels à projets, réalisation d’études, de recherche-action, missions de production...) réalisées par les étudiants pour des professionnels (structures partenaires du Master, collectivités territoriales, associations, compagnies...) ou dans le cadre de leurs projets personnels.

A partir de début avril, les étudiants réalisent un stage/mission d’une durée d’au moins trois mois, qui peut être le prolongement des projets engagés pendant l'année.

Certaines années, un travail collectif est proposé aux étudiants (étude de cas, réponse à un avis d'appel à concurrence, comme en 2006/2007 avec le projet Besançon). En 2007/2008, les étudiants ont effectué un travail en commun pendant une semaine à Marseille avec les apprentis de la FAI AR, Formation Avancée et Itinérante des Arts de la Rue, en lien avec la candidature de Marseille-Provence 2013 capitale européenne de la culture et la Friche de la Belle de Mai. En 2008-2009, plusieurs projets ont été organisés, en partenariat avec le CENTQUATRE, établissement artistique de la ville de Paris, avec Stefan Shankland (projet TRANS305 à Ivry-sur-Seine), avec l'équipe de la Biennale Estuaire à Nantes, avec la ville de Champigny-sur-Marne, avec l'Avant-Rue... En 2009-2010 : réponse à l'appel à projets du Théâtre National de Chaillot (Imaginez Maintenant !), observation de l'opération menée par l'affichiste Michel Quarez et la ville de Bobigny (collage de plusieurs centaines d'affiches sur le canal de l'Ourcq et le canal Saint-Martin), workshops avec le collectif de performeurs Ornic'Art (dans l'espace public, dans le 20ème arrondissement) et la compagnie Sans Titre (au WIP Villette). En 2010-2011, les étudiants ont participé à la 1ère ZAT de Montpellier, et sont engagés dans une recherche-action animée par Olivier Marbœuf (Khiasma) et Nathalie Viot (Ville de Paris) dans le cadre du programme artistique accompagnant l'extension du tramway T3 Est. En 2011-2012, un premier voyage d'étude a été organisé à Montpellier pour la 3ème ZAT, un second à Nantes à l'occasion de la BIS - Biennale internationale des spectacles (rencontres avec l'équipe du Lieu unique, de la compagnie La Machine et du Voyage à Nantes...). En novembre 2012, destination Montpellier pour la 5ème édition de la ZAT. Un séjour à Marseille 
a été réalisé en février 2013 pour rencontrer l'équipe de Marseille-Provence 2013. Une étude sur l'art dans l'espace public à Paris et dans sa métropole a été menée à bien en 2013. En 2014, des projets ont été menés à bien avec l'artiste Stephan Shankland (à Aubervilliers et Ivry-sur-Seine), Maud Le Floch (à Montreuil) et l'association Point de Rassemblement (à Aubervilliers). 


En janvier, février et mars, chaque année, le Master conçoit et organise une série de rencontres publiques sur les enjeux des projets artistiques et culturels dans l’espace public, en partenariat avec l'association Objet(s) Public(s) qui réunit d'anciens étudiants du Master et les étudiants de la promotion en cours. Voir http://www.art-espace-public.c.la

Chaque année, un voyage d'étude est organisé. Destinations : LilleMarseilleToulouse-Tournefeuille, Nantes, Bruxelles, Calais, Montpellier... 

 


LES PROJETS ARTISTIQUES ET CULTURELS DANS L'ESPACE PUBLIC

 

L’espace public est ici défini comme espace physique, ouvert ou couvert, lieu commun situé entre les espaces privés, mais également comme espace socio-politique, symbolique, lieu de visibilités et de débats publics. Dans les deux cas, c’est un lieu dont les artistes peuvent activer ou réactiver la dimension publique, sensible, poétique ou politique, contrecarrant peu ou prou des logiques d’aseptisation, de privatisation ou de dégradation symbolique dont il est souvent affecté, et touchant une population différente de celle habituellement concernée par l’offre artistique et culturelle institutionnelle.

Si tout au long du XXe siècle, des artistes ont voulu créer hors les murs, explorer d’autres territoires, inventer d’autres relations aux publics, le domaine des arts de l’espace public et pour sites spécifiques — où se croisent plasticiens, performeurs, musiciens, chorégraphes, circassiens, street artistes, scénographes urbains… — connaît en France et en Europe un développement significatif depuis une trentaine d’années.

Cet essor, dont témoigne de nombreuses initiatives (cf. les nombreux projets présentés et étudiés dans le cadre des rencontres art [espace] public organisées chaque année par le Master ; cf. également les projets des intervenants professionnels du Master, le projet Urban Art Program à New York, le programme Recyclart à Bruxelles, ZAT à Montpellier...), stimulé en France par la relance de la politique de commande publique par l'État dans les années 1980, puis par des collectivités territoriales (à l’occasion notamment de la construction des tramways de Strasbourg, Montpellier, Paris, Nice…) ou par la Fondation de France (programme Nouveaux Commanditaires, en France, en Belgique, Italie, Grande-Bretagne, Suède, Finlande), par le développement de réseaux européens (In SituCircostrada, ZEPA...), par le lancement de grands programme d'art en espace public comme Estuaire et le Voyage à Nantes, et par l'essor des démarches artivistes, rencontre l’intérêt croissant d’un large public, constitué tout autant de passants de hasard que de spectateurs avertis et d’amateurs impliqués.

 

Au-delà des projets artistiques dans l’espace public et pour sites spécifiques, un intérêt particulier est porté par l’équipe du Master aux logiques de développement culturel territorial (cf. notamment Culture Commune, scène nationale du bassin minier du Pas-de-Calais, Les Pronomade(s), scène conventionnée pour les arts publics en Haute-Garonne, Derrière le Hublot à Capdenac et tous les signataires du manifeste On est un certain nombre...), aux créations « contextuelles », aux projets développés dans l’esprit des « nouveaux territoires de l’art », aux projets portés par des collectifs d'architectes (Coloco, Bruit du Frigo, YA+K...), par les initiatives visant à associer des artistes à la fabrique de l'urbain, par les lieux de débat et de réflexion sur de nouvelles articulations possibles entre art et société : Cassandre / HorschampArtfactories « Plate-forme internationale de ressources pour les lieux de culture et d’art, nés de projets artistiques citoyens et fondés sur un engagement avec des populations », le réseau TransEuropeHalles, le PEROU... 

 

L’Université Paris 1 (UFR 04) est la première université à proposer une formation de Master professionnel dans ce secteur des arts de l’espace public en Europe. Il existe par ailleurs un Master of Public Art Studies à Los Angeles ; un programme de recherche spécialisé dans les pratiques artistiques de l'espace public à la Haute école d'art et de design de Genève ; un Master "Espace Public : design, architecture, pratiques" au sein de l'Ecole Nationale Supérieure d'Architecture de Saint-Etienne ; la FAI AR, formation artistique dédiée aux arts de la rue, à Marseille. 


Le Master dans la presse professionnelle : ici.


Public space is defined as a physical space, open or covered, a communal place situated between private spaces. It also signifies a social political and symbolic space, a place of images and public debates. In both cases, it is a place where artists can activate or reactivate the public, responsive, poetic, or political dimension while opposing the logics of sterilization, privitization, or the symbolic degradation often associated with public spaces, while touching a different population than that usually concerned by the artistic and cultural offer of institutions.

Throughout the 20th century, artists wanted to create outside closed walls, explore other territories, invent other relationships with the public, the domaine of art in public spaces and site specific — the meeting place of visual artists, performers, musicians, choreographers, circus performers, street artists, urban scenographers... —  has shown significant growth in France and in Europe over the past twenty years.

This boom, as seen in numerous initiatives (for example, the projects presented within the framework of the conferences art [espace] public organized by the Masters...), stimulated by the rivived political policy of public commissions by the french State in the 1980's, then by the territorial collectivities (notably for the construction of tramways in Strasbourg, Montpellier, Paris, Nice…) or by the France Foundation (the New Patrons program, in France, Belgium, Italy, Great Britain, Sweden, Finland), by the development of european networks (In Situ, Circostrada...), has met growing public interest, whether it be passers-by, informed viewers, or involved enthusiasts.

The Masters faculty's interests go beyond artistic projects in public spaces or specific sites to include a particular focus on the logics of territorial cultural development (notably Culture Commune, national theater in the miner basin of Pas-de-Calais, Les Pronomade(s), nationally registered theater for public arts in Haute-Garonne), on "contextual" creations, on projects developed in the spirit of "new art territories",  on projects art and urbanism, and on places of debate and reflexion upon the new bridges possible between art and society : les Rencontres de La Villette, the resource centers Cassandre / Horschamp, Artfactories "Platform of international resources for creative centres formed from grassroots artistic initiatives and founded with the involvement of communities", the network TransEuropeHalles, Actes If "the solidary network of cultural places in Ile-de-France", Autre(s)pARTs "Actors united for the Transformation, Research and Experimentation (of the relationships between) Populations, Art and Society"… More about territory and artistic projets

Paris 1 University (UFR 04) is the first university to propose a professional Masters program in the domaine of the arts in public spaces.

The Masters in the trade press:
 here.


L'ÉQUIPE PÉDAGOGIQUE DU MASTER 

L'équipe pédagogique du Master rassemble en 2013/14 une vingtaine d'universitaires et de professionnels qui interviennent dans le cadre des différents EP (éléments pédagogiques) de la formation.

Eric Baron, avocat au barreau de Paris, spécialisé dans les régimes juridiques et fiscaux applicables aux acteurs et activités culturels. 
 
Philippe Barthélemy, maître de conférences associé à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, UFR 04, consultant, directeur de Mémoire et Patrimoine Expositions, initiateur de projets soutenus dans le cadre de programmes européens.

Danielle Bellini, directrice des affaires culturelles de Tremblay en France, présidente des Souffleurs, commandos poétiques. 

Christophe Blandin-Estournet, directeur de l'Agora, Scène nationale à Evry (ancien directeur de Culture O Centre, Ateliers de développement culturel, Observation / Débats, Rencontres / Productions, et d'Excentrique, festival pluridisciplinaire en région Centre). 
Membre de la MNACEP

Philippe Chaudoir, professeur en sociologie des politiques urbaines à l'Institut d'Urbanisme de Lyon (Université Lumière Lyon II), responsable du Master « Politiques Urbaines : Gouvernance, médiation et gestion de la ville », président de Lieux public, Centre National de Création des Arts de la Rue.

Etienne Delprat, architecte, collectif YA+K
 
Gustave Galeote, maître de conférences associé à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Chantal Lamarre, directrice de Culture Commune, scène nationale du bassin minier du Pas-de-Calais.

Pascal Le Brun-Cordier, professeur associé à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, membre du CRICC/LETA,
 directeur artistique des ZAT à Montpellier, directeur du Master. Membre de la MNACEPInterventions et publications : blog.

Maud Le Floch, directrice du pOlau, urbaniste. Membre de la MNACEP

Stéphanie Lemoine, co-auteur de In situ : Un panorama de l'art urbain de 1975 à nos jours (éditions Alternatives, 2005), Artivisme. Art, action politique et résistance culturelle, éditions Alternatives, 2010), L'art urbain : du graffiti au street art (Gallimard, 2012). 

Mathieu Maisonneuve, directeur de L'Usine, lieu conventionné dédié aux arts de la rue (Tournefeuille). 

Samira Ouardi, chercheuse en sciences de l'information et de la communication, co-auteur de Artivisme. Art, action politique et résistance culturelle, éditions Alternatives, 2010.  

Marc Patard, professeur de philosophie, chercheur en sciences politiques.
 
Thierry Paquot, professeur des universités (Institut d'urbanisme de Paris, Paris XII Val-de-Marne), éditeur de la revue Urbanisme, producteur à France Culture. Auteur de nombreux ouvrages dont La ville et l'urbain. L'état des savoirs, La Découverte, 2000, Des corps urbains. Sensibilités entre béton et bitume, Autrement, 2006. Autres publications

Laurent Petit, psychanalyse urbain, ANPU - Agence Nationale de Psychanalyse Urbaine. 

Michel Risse, compositeur, directeur de la compagnie Décor Sonore. 

Bénédicte Rochet, avocate. 

José Rubio, directeur technique de l’EPPGHV - Etablissement public du parc et de la grande halle de La Villette.

Serge Saada, responsable du programme de formation national à la médiation culturelle de l’association Cultures du cœur, auteur de
 Essai sur la médiation culturelle et le potentiel du spectateur (L'Attribut, 2010). 

Philippe Saunier-Borrell, co-directeur de « Pronomade(s) en Haute-Garonne », Scène conventionnée pour les arts publics depuis 2003, Centre national des arts de la rue depuis 2006. 

Jean-Dominique Secondi, directeur de ARTER - Art Public Contemporain, architecte, producteur délégué (notamment) de la Nuit Blanche.

Des rencontres sont organisées pendant l'année, dans le cadre de la formation, avec d'anciens étudiants du Master. 


Sont également intervenus dans le cadre du Master les années passées : Yann Toma, artiste (Ouest Lumière), maître de conférences à Paris 1. Fred Sancerre, directeur de Derrière le Hublot (Capdenac). Max Leguem, directeur de la MJC de Ris Orangis. Elena Dapporto, chargée de mission pour les arts de la rue, les arts du cirque et de la marionnette, Ministère de la Culture et de la Communication. Pedro Garcia, directeur artistique de Chalon dans la rue / L'Abattoir (Chalon sur Saône). Jean-Sébastien Steil, coordinateur du réseau européen In Situ / Lieux publics, centre national de création, Marseille). Bruno Caillet, directeur de l'agence multimédia Watoo. Luc Gwiazdzinski, géographe, Maître de conférences en géographie urbaine à l'Université J. Fourier de Grenoble, Laboratoire Pacte territoire (UMR CNRS Pacte 5194), fondateur de l’agence Sherpaa, Président du Pôle des Ars urbains, auteur notamment de La ville 24h/24, 2003, L’Aube ; Si la ville m’était contée, 2005, Eyrolles ; La nuit dernière frontière de la ville, 2005, L’Aube ; Périphéries, voyage à pied autour de Paris, L’Harmattan, 2007 ; Nuits D’Europe, 2007, UTBM Editions ; Si la route m’était contée, 2007, Eyrolles. Guy Tortosa, inspecteur de la création artistique, direction générale de la création artistique, ministère de la culture et de la communication. Stefan Shankland, artiste plasticien, initiateur de la démarche HQAC, haute qualité artistique et culturelle. Fabrice Lextrait, chargé de mission, Architectures Jean Nouvel, auteur du rapportFriches, laboratoires, fabriques, squats, projets pluridisciplinaires... Une nouvelle époque de l’action culturelle, destiné au secrétaire d’Etat au Patrimoine et à la Décentralisation culturelle (2001). Marc Gauchée, directeur de la communication et des publics de l’EPPGHV - Etablissement public du parc et de la grande halle de La Villette, co-auteur de Culture rurale, cultures urbaines, Cherche-midi éditeur, 2006 ; Brice Gessler, chef de projet, agence Le Hub ; Fanny Georges, Centre de recherche Images, Cultures et cognition (CRICC), Paris I, Observatoire des ondes Numériques en Sciences Humaines (OMNSH) ; Floriane Gaber, chercheuse, consultante, spécialiste des arts de la rue à l'international ; Antoine Billaud, juriste, spécialisé dans le domaine des projets artistiques dans l’espace public, association Rouge, accompagnement de projets artistiques et culturels ; Yann Métayer, spécialiste des questions de prévention des risques dans le domaine des projets artistiques dans l’espace public, ancien directeur technique de la Maison de la Culture de Nantes, du Printemps de Bourges, du Festival Interceltique de Lorient ; Pierre Oudart, chargé de mission au CNAP, Centre National des Arts Plastiques ; Emmanuel Vinchon, sherpa et conseiller artistique, notamment au sein de Lille 2004 et Lille 3000 ; Julie Desprairies, chorégraphe, compagnie Des Prairies ; Frank Piquard, directeur délégué de la compagnie DCA (Philippe Decouflé), co-programmateur de Jazz à la Villette ; Eve Plenel, responsable de l'insertion et de la prévention au CENTQUATRE, établissement artistique de la ville de Paris ; Bénédicte Ramade, historienne de l'art, critique d'art, rédactrice pour les magazines L'œil et 01 Magazine, commissaire d'exposition ; Anne Gonon, titulaire d'un doctorat sur les publics des arts de la rue soutenu à l'Université de Bourgogne ; Sandra Fiori, maître-assistante titulaire à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Montpellier (ENSAM), champ « urbanisme et projet urbain », chercheuse au laboratoire CRESSON (centre de recherche sur l’espace sonore et l’environnement urbain – UMR CNRS 1563 / école d’architecture de Grenoble) ; Mark Etc, artiste, directeur artistique du groupe ICI-MEME, producteur d’événements artistiques ; Patrick Brenner, ancien secrétaire de la commisssion juridique du Conseil de l'Europe, administrateur de programmes FEDER de la Commission européenne et de services de ministères français, il dirige actuellement la mission du Grand Bassin parisien et enseigne dans les écoles de la fonction publique (CNFPT, ENA) ; Isabel Andreen, consultante en production et développement de projets culturels européens, coordinatrice de projets de coopération interculturelle.

 
Quelques-unes des personnalités rencontrées depuis 2006 : Jean-Claude Pompougnac, Directeur d’Arcadi ; Françoise Billot et Gilles Alvarez, Arcadi ; Jean Digne, président de HorsLesMurs ; Stéphane Simonin, directeur de HorsLesMurs ; Baptiste Monsaingeon, Art Public Contemporain ; Frédéric Hocquard, Actes-If et Confluences ; Mehdi Idir et Jasmine Franck, La Villette ; Mathieu Maisonneuve, L'Usine ; Yann Toma, artiste ; Hervée de Lafond, comédienne et co-directrice du théâtre de l'Unité ; Malte Martin, plasticien et graphiste ; Joëlle Barbaresi, secrétaire générale de la Mission départementale de la culture de l'Aveyron ; Xavier Montagnon, Art public contemporain ; Ricardo Esteban, projet Petit Bain ; Aurélie Haberey, artiste ; Julien Travaillé, directeur artistique de la compagnie Serial Théatre, à propos de son projet FACES ; Christine Spianti et  Christophe D'Hallivillée, Studio de Sculpture sociale ; Jean-Marie Songy, co-directeur artistique de la Nuit Blanche 2007, directeur du festival international de théâtre de rue d’Aurillac, du festival Furies à Chalon en Champagne, du festival Sortie de Rue à Saint Jean de Védas, du festival d’Ax les Thermes ; Jean-Dominique Secondi, directeur de APC-Art Public Contemporain, société chargée de la production de Nuit Blanche notamment en 2007...
 
Entre octobre 2005 et mars 2006, les étudiants ont rencontré Olivier Darné, artiste "graphiculteur" ; Michel Verjux, plasticien ; Mari Linnman, médiatrice du programme "Nouveaux Commanditaires" (Fondation de France), présidente de l'association 3-CA ; Philippe Saunier-Borrell, directeur des Pronomades ; Catherine Contour, artiste chorégraphique ; Jean Digne, président de HorsLesMurs ; Stéphane Simonin, directeur de HorsLesMurs ; Rémy Bovis, Gérant de la coopérative De rue et de Cirque ; Séverine Dardel, Chargée de l’action culturelle de De rue et de Cirque ; Didier Le Corre, directeur de l'Espace Simone Signoret, scène conventionnée de Vitry-le-François ; Karine Delorme, maire-adjointe de Chalon sur Saône, membre de la FNCC - Fédération nationale des collectivités territoriales pour la culture ; Marie-Thérèse François-Poncet, conseillère municipale d'Agen, vice-présidente de la FNCC ; Florian Salazar-Martin, maire-adjoint de Martigues, président de la FNCC ; Marion Druart, directrice de l'action culturelle de la ville de Saint-Ouen ; Catherine Vaudour, conservateur en Chef du Patrimoine, directrice de la Culture et du Patrimoine du Conseil Général des Alpes-Maritimes ; Alexia Fabre, conservatrice du MAC/VAL, Musée d'art contemporain de Vitry-sur-Seine ; Mathieu Maisonneuve, directeur de l'Usine, Tournefeuille, lieu de fabrication, de création et de production de théâtre de rue et de spectacle vivant ; Thierry Pariente, conseiller technique du Ministre de la Culture et de la Communication, pour le Théâtre, le Cirque et les Arts de la Rue ; Nathalie Viot, conseiller artistique, Direction des affaires culturelles, Sous direction des nouveaux projets, Département de l'Art dans la Ville, Ville de Paris. Productrice d'événements artistiques pluridisciplinaires ; Virginie Buronfosse, responsable des relations avec le public aux Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis...

En février, mars et avril 2006, les étudiants du Master ont organisé huit rencontres-débats publiques sur des questions articulant arts, cultures, populations et territoires. Parmi les artistes, acteurs culturels et observateurs du monde de l’art invités : Grégory Chatonsky : artiste numérique, membre fondateur de la plateforme expérimentale incident.net ; Bernard Lubat, musicien, fondateur de la Compagnie Lubat de Gasconha et du Festival d’Uzeste Musical ; Mark Etc, directeur artistique du Groupe Ici Même ; Guy Benisty, cofondateur et directeur du Githec – Groupe d’Intervention Théâtral Et Cinématographique (Pantin - 93) ; Pedro Garcia, directeur artistique du festival Chalon dans la Rue et de l'Abattoir ; Catherine Boskowitz, metteur en scène, codirectrice du Collectif 12 / Friche A. Malraux à Mantes-la-Jolie ; Danièle Bellini, directrice des affaires culturelles de Champigny-sur-Marne (94) ; La Caution, groupe de rap ; Serge Chaumier, professeur à l’université de Bourgogne ; Philippe Henry, maître de conférences HDR à l’Université Paris 8 Saint-Denis, département théâtre ; Stephen Wright, enseignant en esthétique, critique d'art et commissaire d'exposition indépendant ; Hervé Lelardoux, scénographe et metteur en scène, Théâtre de l’Arpenteur ; Gabi Farage, urbaniste-inventeur, directeur de l’association Bruit du Frigo ; Palmira Picon-Archier, directrice de l’APSOAR ; Dominique Lemaître, comédienne, codirectrice artistique de la compagnie des Chercheurs d’Air ; Françoise Léger, codirectrice artistique de la compagnie Ilotopie ; L’Atlas, artiste ; Stéphanie Lemoine, auteure de In Situ, un panorama de l'art urbain de 1975 à nos jours ; Anne Vergneault, co-directrice artistique de la compagnie KMK ; Rémy Bovis, gérant de la coopérative De rue et de Cirque…

En janvier, février et mars 2007, les étudiants du Master ont organisé dix rencontres-débats : voir la liste des quarante invités du cycle 2007.

En janvier, février et mars 2008, a eu lieu un nouveau cycle art [espace] public. Les invités étaient Thierry Davila historien de l’art et commissaire d’expositions, Thierry Paquot philosophe, professeur à l’Institut d’Urbanisme de Paris (Paris XII), éditeur de la revue Urbanisme, Hendrik Sturm artiste promeneur, enseignant à l’École des Beaux-Arts de Toulon, Luc Gwiazdzinski géographe, université J. Fourier de Grenoble, Jean-François Augoyard directeur de recherche au CNRS, fondateur du CRESSON (Centre de recherche sur l’espace sonore et l’environnement urbain), Nicolas Frize compositeur, directeur des Musiques de la Boulangère, Michel Risse artiste sonore, directeur de la compagnie Décor Sonore et de la Fabrique Sonore, Constantin Petcou architecte et chercheur, cofondateur de l’Atelier d’architecture autogéré, Stefan Shankland plasticien, initiateur de la démarche HQAC, Haute Qualité Artistique et Culturelle (projet Trans305, Ivry sur Seine), Philippe Vasset écrivain, auteur de Un livre Blanc, Fayard, 2007, co-fondateur de l’Atelier de Géographie Parallèle, Jean-Christophe Aguas chargé des évènements métropolitains, délégation générale à la coopération territoriale, ville de Paris, Ami Barak commissaire d’expositions et critique d’art, co-directeur artistique de Nuit Blanche en 2003 et 2004, Hervé Breuil directeur du Lavoir Moderne Parisien, Christophe Girard adjoint au maire de Paris, chargé de la culture, André Rouillé maître de conférences à l’université Paris VIII, critique d’art et fondateur du site Paris-art.com, Jérôme Sans commissaire d’expositions, co-directeur artistique de Nuit Blanche 2006, Jean-Dominique Secondi directeur d’Art Public Contemporain, producteur de Nuit Blanche en 2004, 2006 et 2007, Jean-Marie Songy directeur artistique du festival d’Aurillac, co-directeur artistique de Nuit Blanche en 2007, Xavier Veilhan artiste plasticien ayant participé à Nuit Blanche en 2006 et 2007, Marc Blieux artiste multimédia, chercheur, dirige le projet AIRE et AIRE-Second Life (http://aire-europe.org), Agnès de Cayeux net artiste, chargée du projet x-réseau initié par le Théâtre Paris-Villette en faveur de la création artistique de spectacle vivant en réseau, Michel Lussault géographe, professeur à l’université François-Rabelais de Tours, Ernest Pignon-Ernest, artiste, Alberto Abruzzese université de Milan, Richard Conte université Paris 1, Filippo Fimiani université de Salerne, Camille Gendrault université Paris III, Carlo Grassi université de Venise, Rossana Rummo directrice de l’Institut Culturel Italien de Paris, Pappi Corsicato cinéaste, Stefano de Matteis université d’Urbino, Jean Mottet université Paris 1, Achille Pisanti scénariste, Jean-Noël Schifano écrivain et éditeur, Martine Segonds-Bauer Institut Français de Naples, Jean-Marc Barbieux rédacteurs en chef du magazine Tracks (Arte), Sonja Kellenberger directrice de recherches et d’études, SEA Europe, Pierre Sauvageot compositeur, directeur de Lieux publics, centre national de création des arts de la rue (Marseille), Jean Bojko directeur de Téatr’éprouvête (Corbigny, Nièvre), Proserpine clown, projet La Fabrique de Liens (L’Apprentie Compagnie), Marc Gauchée co-auteur de Culture rurale, cultures urbaines ?, Le Cherche Midi, 2006, André Gattolin essayiste, enseignant et doctorant, spécialisé dans les techniques de communication activistes, Brian Holmes critique d’art et essayiste, spécialisé dans les croisements entre art, économie politique et mouvements sociaux, Samuel Wahl journaliste revue Cassandre, Renaud Auguste-Dormeuil artiste plasticien, Eric Heilmann maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’université Louis Pasteur de Strasbourg, Manu Luksch artiste, réalisatrice du long-métrage FACELESS *, Nicolas Thély maître de conférences à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et auteur de Vu à la webcam. Essai sur la web-intimité, Les Presses du Réel, 2002. Voir le programme détaillé sur le site des rencontres art [espace] public.

Lors de la pré-rentrée du Master en septembre 2008, à la Villette, dans le cadre des Pop's, "festival pour des arts turbulents", les étudiants ont pu rencontrer : François Delarozière, La Machine, Laurent Chanel, artiste, Yveline Rapeau, programmatrice des Pop's, Mehdi Idir, chargé de mission à la direction des spectacles, Jasmine Francq, responsable des visites et ateliers. Ils ont aussi pu assister au séminaire Fresh Circus et à la conférence Smart City dans le cadre du festival Emergences 2008. 

Directeur du Master : Pascal Le Brun-Cordier, professeur associé à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, directeur artistique des ZAT. Blog.
 
Pour une présentation plus précise de la formation : enseignements,versement de la taxe d'apprentissagerecrutementVAE... démocratie culturelle projets culturels de territoire master direction de projet culturel master direction de projets culturels master projet culturel master projets culturels master gestion culturelle master administration de projet culturel master administration de projets culturels master management culturel master management de la culture master développement culturel master développement territorial master gestion du spectacle vivant master administration du spectacle vivant master management culture master développement culturel et direction de projet master gestion des entreprises culturelles master administration des institutions culturelles master métiers des arts et de la culture master conception et mise en œuvre de projets culturels master gestion des institutions culturelles master ingénierie culturelle master ingénierie de la culture master développement de la culture dans les territoires master conduite de projets culturels  master culture master art et culture  éducation populaire master culture master projet culturel master administration de la culture master mapping réalité augmentée ville pervasive

Que deviennent les étudiants du Master ?

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Le Master Projets Culturels dans l'Espace Public distingué par le Nouvel Observateur

Le Nouvel Observateur a publié une liste de 450 "diplômes gagnants", “pépites de l’université”, parmi lesquels figure le Master Projets Culturels dans l'Espace Public.


"L'université, une voie sans issue ? Le cliché a la vie dure mais ne correspond en rien à la réalité. (...) Le Master Projets Culturels dans l'Espace Public > Atouts : La sélectivité du diplôme (350 dossiers pour 20 reçus), et l'accompagnement des élèves (préparation aux concours de la fonction publique territoriale, enseignement d'accompagnement à la création d'entreprise et d'association, atelier CV, rencontres de professionnels, etc...)" La suite, c'est ici. D'autres articles sur le Master : c'est .
 
La_Sc__ne_n___59_4d0a1da18362c-copie-3.jpgDans le magazine La Scène n°59 (hiver 2010-2011), une enquête est consacrée aux Masters "culture" : Comment en tirer profit. Deux anciennes étudiantes du Master Projets Culturels dans l'Espace Public témoignentExtraits : Amanda Abi Khalil : "J'ai très vite trouvé du travail, et je n'ai pas connu une journée de chômage depuis la fin de mes études." (p. 82) "Administratrice de production depuis un an, Alice Caze est titulaire du Master 2 Projets Culturels dans l'Espace Public Paris 1 Panthéon-Sorbonne, une formation qu'elle a suivi dans le but de "finir d'acquérir  les principaux réflexes en terme de montage de projets culturels et de multiplier les rencontres avec des professionnels pour fonder un véritable réseau de départ." (p. 81)
L'article de La Scène évoque les salaires des jeunes diplômés, souvent peu élevés. "J'ai fait et je fais toujours des concessions concernant mon salaire, même si je ne suis aucunement surprise sur le fait de ne pas avoir de bureau fixe, sans parler des heures supplémentaires, mais je ne vis pas ces dernières comme une concession, plutôt comme un investissement personnel incontournable. Cependant j'observe une évolution positive en partie grâce à mes propres efforts et là se situe la dimension passionnante de mon poste." explique Alice Caze. "Le salaire, c'est le bémol" reconnaît Amanda Abi Khalil. "Elle prône un activisme culturel fort qui permet dès l'université de rester en phase constante avec le milieu professionnel. "J'ai pour cela réalisé un maximum de stages, participé à beaucoup de rencontres, des conférences..."

Enquête semestrielle sur l'insertion professionnelle des anciens étudiants du Master Projets Culturels dans l'Espace Public. Tous ont trouvé un emploi, soit à l'issue du stage, soit dans les mois suivants la fin du stage. 

-Secrétaire général du CIPAC, Fédération des professionnels de l'art contemporain
-Directrice de l'Alliance Française de Belo Horizonte - Brésil 
-Curatrice indépendante au Liban
-Chargé de production dans une agence de production d'événements artistiques et culturels 
-Directrice adjointe et directrice culturelle de l'Alliance Française de Guatemala Ciudad (CDD de deux ans)
-Coordinatrice régionale de l'association Cultures du Coeur en région Centre (CDI)
-Chargé de mission culture pour un Pays regroupant 66 communes (CDI)
-Chargé d'administration et de production d’une structure de production de projets artistiques en espace public (CDD)
-Administrateur d’une structure culturelle en région parisienne (CDD de 2 ans).
-Chargée de développement, Pulsart, association nationale d'action artistique (CDI)
-Chargé de développement d’une association nationale d'action artistique (CDI)
-Chargée de diffusion et des relations avec les publics, Ensemble 2e2m (CDI)
-Chargé de développement d'une association spécialisée dans l’approche sociologique de la culture (CDI)
-Documentaliste, KM Prod (société travaillant pour Canal+, "Le Grand Journal"), (CDD de 10 mois), et formatrice occasionnelle, compagnie du Bredin.
-Chargée de mission à la Fédération Française des Ecoles de Cirque (CDD de 6 mois)
-Secrétaire général d’une collectivité territoriale, avec rang d'attaché territorial (CDD de deux ans)
-Chargé des relations publiques d'un théâtre de la région parisienne (CDD de 4 mois)
-Chargé de mission dans un espace culturel (CDD)
-Chargée de mission action artistique dans un centre culturel - scène conventionnée en la région parisienne (CDD 8 mois à mi-temps)
-Assistant de production d’un festival en région parisienne
-Vacations régulières pour une association de développement des arts du cirque.
-Attachée territoriale, directrice adjointe du service culturel d'une collectivité territoriale, chargée de la programmation d'un café-culture, du développement du jeune public et des relations aux associations (78)
-Chargée de mission service production du Pôle Culture & Manifestations de la Ville de Lille (interim).
-Chargée des publics au sein de l'association Emmetrop, friche L'antre-peaux, à Bourges (18).
-Attachée aux relations avec les publics, Théâtre de l'Odéon.
-Administratrice d'une compagnie de théâtre à La Rochelle (CDI), et enseignante en théâtre (CDI). 
-Attachée culturelle à l'Ambassade de France au Honduras.
-Chef de projet Le Hub, agence d'ingénierie culturelle ; chargée d'évaluation de projets pour la Fondation de France (prestataire)
-Chargé de communication et des relations aux publics dans un Centre national de création musicale en Ile-de-France (CDI).
-Chargée de mission dans un festival dédié aux arts de la rue en Ile-de-France (CDD 6 mois).
-Chargée de mission mécénat, Vocatif, Agence spécialisée dans le conseil en mécénat et la gestion de partenariat d’entreprises (CDD).
-Chargée des actions culturelles de la manifestation La Folle Histoire des Arts de la Rue qui aura lieu du 29 septembre au 9 novembre 2008 et assistante de direction artistique à Karwan, pôle de développement des arts de la rue et arts du cirque en PACA (CDD  de treize mois).
-Responsable de la communication terrain et médiation, association Comme Vous Emoi, Montreuil (93) (emploi tremplin).
-Chargée de l'administration, de la production et de la coordination des projets d'une compagnie installée à Paris (CDI, emploi tremplin).
-Coordinatrice de projets - chargée de communication à la Fédération Française des Ecoles de Cirque à Paris (CDD, contrat d'avenir) 
-Coordinatrice, Maîtrise de Radio-France - Site de Bondy (CDD, 11 mois). 
-Chargée de mission "Projets de décentralisation et projets socio-culturels dans l'espace public" au Centre Culturel Espagnol à Guatemala, missionnée par le Ministère des Affaires Etrangères.
-Enseignante à l'Institut Français de Valence (Espagne) (CDD, 9 mois) + missions pour le Festival International d’art de la scène Valencia Escena Oberta (CDD).
-Chargé de production au sein de l'agence Eva Albarran, agence de production d’art contemporain, producteur délégué de la Nuit Blanche 2008 avec le Troisième Pôle. 
-Responsable des actions "Education populaire" (éveil politique et citoyen) au sein de MACAQ (Mouvement d'Animation Culturelle et Artistique de Quartier) en volontariat associatif (SCV), sur 9 mois. 
-Chargé de communication / relations aux publics à La Muse en Circuit (CDI)
-Conseillère culturelle et coordinatrice du Réseau départemental de diffusion culturelle en milieu rural. Agence technique départementale. Lille. CDD 18 mois 
-Responsable du Centre de Ressources du VIP, Scène de musiques actuelles, Saint Nazaire (CDI)
-Chargée de développement à SEA EUROPE, Sociologues et Ethnologues Associés, centre de ressources pour la recherche en sciences humaines 
-Chargée de la communication d'un projet dans le domaine de la lecture publique à la direction "culture et politique de la ville" d'une communauté d'agglomération de la région parisienne (CDD). 
-Chargé d'étude au sein d'un cabinet d'étude et de conseil, travaillant notamment pour des associations culturelles (DLA) et des collectivités publiques (CDD). 
-Chargé de mission à la direction de l'action culturelle d'une grande entreprise nationale (CDD).
-Chargée de projet, l'Avant Rue, lieu de résidence, Paris (CDD). 
-Chargée de développement et de médiation culturelle pour la compagnie KMK (CDD 6 mois). 
-Coordinateur - programmateur de la salle de concert le Marché Gare - MJC Perrache à Lyon.
-Chargée de mission, POlau (Pôle des arts urbains) / Projet TRANS305 pour le développement d'une étude sur les démarches d'accompagnement artistique et culturel de projets urbains (indépendant)
-Chargée des relations avec le public, accompagnement de projets, Culture O Centre, Ateliers de développement culturel - Festival Excentrique (CDD 3 mois 1/2)
-Assistante de Production, CENTQUATRE, établissement artistique de la Ville de Paris (CDD 9 mois) 
Assistante de la directrice et du directeur adjoint, Centre National de Danse Contemporaine (CDD, 5 mois)
Association CirQ'ônflex-Dijon, Coordinateur (CDD) 
Le Hub, agence, SARL, chargée de projet/consultante (CDI)
Cie T.Public, association d'idées (asso loi 1901), Marseille, Coordinatrice de projet/assistante de production, CDD (12 mois)
Ramdam (association), lieu de résidence, administratrice et coordinatrice (CDD, 24 mois)
Les Souffleurs, commandos poétiques, association, Changement de Décor, coordinatrice (CDI) 
Conseil Régional Rhône-Alpes, Direction de la Culture, service Médiation et nouveaux publics, Médiatrice Carte M'ra, (CDD) 
Association Les Concerts de Poche, Seine et Marne (77), Assistante d'administration et coordinatrice du projet d'opéra itinérant Carmen (CDD 6 mois) 
LE CENTQUATRE, Etablissement artistique de la Ville de Paris, attachée de Production (CDD 18 mois) 
Derrière Le Hublot, chargée de mission administration, réseau, évaluation (CDI)
Culture O Centre, Ateliers de développement culturel - Festival Excentrique 
Le Nombril du Monde, chargée des relations avec le public, accompagnement de projet (CDD) 
- Suivi et coordination des évènements, festival et formations (CDD)  
Friches théâtre urbain / l'Avant Rue, Chargée de production (CDI) 
La Ferme du Buisson - scène nationale de Marne la Vallée, assistante au secrétariat général.

Compagnie KMK, chargée de développement et de la médiation culturelle (CDI) 
POlau (Pôle des arts urbains) / Projet TRANS305 pour le développement d'une étude sur les démarches d'accompagnement artistique et culturel de projets urbains (indépendant) 
Centre Français de Culture et de Coopération en Egypte - Le Caire, Adjoint à l'attaché culturel (coordination, programmation, diffusion, communication)
CDD.  
Salle de concert le Marché Gare - MJC Perrache Lyon.
Coordinateur - programmateur
Représentation de la Région Malopolska (Pologne) à Bruxelles, Policy Officer (culture, creative industries, tourism) (CDI) 

 


Une étude sur l'emploi des étudiants et leur conception de la réussite : ici.

Lire des témoignages d'anciens étudiants du Master. 

Découvrir Objet(s) Public(s), l'association des étudiants du Master. 


Vous souhaitez faire parvenir une offre d'emploi aux étudiants ? Contactez-nous.


Les étudiants du Master

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Les étudiants de la 10ème promotion 

(2014-2015)


Photo de la promotion 10 2014 2015

 

Stéphanie Braka

Charlotte Cheveau

Marie Delor

Coralie Duran

Astrid Durocher

Camille Fukas

Essia Jaibi

Samir Ketila

Ariane Leblanc

Pauline Lisowski

Marie Monclus

Agathae Montecinos Pinheiro

Colombine Noebes-Tourres

Morgane Noubel

Lou Paquet

Chloé Penha

Clémence Pierre

Marie Quelen

Ivana Rumanova

Robin Sepulcre 

 


Les étudiants de la 9ème promotion 

(2013-2014)

 

aller-retour

Romain Arditi

Grégoire Arpin-Bueria

Laura Athéa

Céline Bénétos

Claire Chaperon

Nina Cholet

Diaty Diallo

Laura Doucène

Justine Dumotier

Juliette Dubin

Marianne Frassati

Maira Hata

Barbara Petitjean

Alix Viala

Maryline Tagliabue

Aurore Stalin

Sofia Uguccioni

Alexandra Valet

Flora Vallauri

Marion Zankowicz


Les étudiants de la 8ème promotion 

(2012-2013)

photo de classe 

Julia Ardiley
Victoire Bech
Juliette Bibasse
Camille Blosse
Leonor Bolac
 Marion Bourguelat
 Carmen Camboulas
 Pauline Charrière
Adeline Debatisse
Antoine Esteve
Bianca Farrugia
Elodie Gaspard
Camille Grant
Loyce Hebert
Alexandre Lamothe
Nina Le Roux
Manel Pons
Diana Portilla
Hélène Toumanoff
Mathilde Wahl


 

Les étudiants de la 7ème promotion 

(2011-2012)

  Photo-de-groupe-Master-promotion-2011-2012.jpg

 

Laurie Castel

Renaud Cousin 

 Cécile Demessine
Samia El Ouazzani 
Sylvain Hardy 
Camille Lévêque 
Marion Marchand 
Arthur Mayadoux  
Emilie Metris 
Camille Michel 
Lisa Moneret 
Lucile Ribeaudeau 
Camille Rondeau 
Pauline Séjourné 
Camille Simon 
Valentin Szejnman 


 

Les étudiants de la 6ème promotion 

(2010-2011)

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Alves Pereira Sylvie

Berlaud Coline

Bourgade Cécile

Clerc Marion

Cornec Pauline

de Saint Fraud Aurore

Delprat Etienne 

Gauthier Caroline

Jeong Eun-Yeob

Julhes Martin

Magaud Bérangère

Monblanc Frédérique

Omnès Clément

Pugin Marine

Stein Clara

Talva Camille

Tucker Alice

 

Les étudiant-e-s de la 5ème promotion

(2009-2010)


Lise Bénard
Marina Bourdais
Clémentine Cassard
Zoe Dehays
Cécile Di Filippo
Sandra Gicquel
Gaëlle Hermant
Emmanuelle Jolivet
Victor Leclère
Lucie Lemaître
Melissa Makni 
Anne Métrard
Elsa Ossart
Lucie Piard
Doriane Roche
Nancy Roquet
Charlotte Rougier

 

Les étudiant-e-s de la 4ème promotion

(2008-2009)

Claire Bataille
Armelle Bellenger
Marion Blanc
Laure Bonnefond
Alice Caze
Aude Chandoné
Fanny Courieult
Caroline Dubois
Adrienne Ferré
Marion Grange
Pauline Haué
Claire Huberson
Natan Jannaud
Younes Kanbouj
Alice Leborgne
Coralie Mainguy
Delphine Marcadet
Cécile Robin
Marie Tranchet
Catalina Trujillo

Les étudiant-e-s de la 3ème promotion

 

(2007-2008)


Amanda Abi Khalil 
Céline Auclair 
Aurélie Burger
Tiphanie Dragaut
Melody Dupuy
Clotilde Fayolle
Mélanie Fioleau 
Caroline Giovos 
Charlotte Girard
Elise Laperriere
Anne-Sophie Levet
Léa Marchand
Julien Paris
Chloé Perarnau 
Benjamin Petit 
Malgorzata Ratajska 
Inès Sanchez 
Alice Vallat
Nina Vandenberghe

 

 


Les étudiant-e-s de la 2ème promotion

(2006-2007)

Quatorze des dix-neuf étudiants du Master, en décembre 2006.

Céline AGUILLON
Ségolène ANGELE
Delhia AOULI
Marion BLET
Chloé BOURRET
Antoine COCHAIN
Véronique DUBARRY
Violaine GARROS
Dalila HABBAS
Kafui KPODEHOUN
Arthur LASSAIGNE
Julie LE GUILLANTON
Caroline MARCHAL
Kate MERRILL
Caroline MOYE
Julien NICOLAS
Deborah PORCHET
Marina QUIVOOIJ
Sébastien RADOUAN

Quelle insertion professionnelle pour les étudiants ?



Les étudiants du Master et P. Le Brun-Cordier dans le contener / pollinisateur posé sur la piazza Beaubourg à l'automne 2006 par Olivier Darné (voir aussi ici). Image : O. Darné.


Les étudiant-e-s de la 1ère promotion
(2005-2006)

Téléchargez les CV des étudiants de la promotion 2005-2006 en cliquant sur les noms soulignés :

 

Cécile Cano Lire son témoignage

Elsa Chausse

Elise Coury

Alice Delacour

Guillaume Deschamps + annexes

Emilie Dubuc

Lucie Dufossé

Violaine Dupic

Camille Geoffroy

Soizic Gobron

Alice Hervé

Elise Laurent

Aurélie Marcillac

Xavier Montagnon

Charlotte Morel

Mathilde Ochs

Jeanne Pariente

Adrien Pasternak

Guillemette Pichon

Rachel Pinget

Camille Poiraud


Quelle insertion professionnelle pour les étudiants ?

Objet(s) Public(s), l'association des étudiants du Master.  

 

Journal des anciens étudiants du Master

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Younes Kanbouj, ancien étudiant du Master

 

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La Folle Histoire des Arts de la Rue
Rencontre(s) singulière(s) entre des populations et les Arts de la rue dans les Bouches-du-Rhône 


Témoignage de Marion Blet, chargée des actions culturelles au sein de Karwan, pôle de développement et de diffusion des arts de la rue et des arts du cirque (Marseille), étudiante au sein du Master Projets Culturels dans l'Espace Public en 2006-2007. Texte transmis en août 2008. 

La Folle Histoire des Arts de la Rue c’est l’histoire des Arts de la rue racontée à partir du répertoire des compagnies dans 6 villes des Bouches-du-Rhône. Ce projet est organisé par Karwan, pôle de développement des arts de la rue et des arts du cirque en région PACA, implanté à la Cité des Arts de la Rue, à Marseille. Anne Guiot en est l’auteur et la directrice artistique. La Folle Histoire s’inscrit dans la continuité de L’Année des 13 Lunes (saison des arts de la rue dans les villes et villages des Bouches-du-Rhône, chaque jour de pleine lune, co-produit avec Lieux publics) au sens où elle installe une relation privilégiée entre une commune et les Arts de la rue, et du Grand Répertoire des machines de spectacle (exposition vivante de machines de spectacles de rue) au sens où elle prolonge l’exposition par l’accès aux spectacles. Cette manifestation est réalisée avec le soutien du Conseil général des Bouches-du-Rhône.

 

La Folle Histoire des Arts de la Rue accueillera dans le cadre de cette 1ère édition des compagnies exclusivement issues du département : Artonik, No Tunes International, Ex nihilo (vidéo, plus bas : Trajets de Vie, Trajets de Ville), Générik Vapeur, Agence Tartar(e) et ilotopie (photo à droite : La Mousse en Cage). Entre le 29 septembre et le 2 novembre 2008, ces six compagnies s’implanteront, à tour de rôle, dans leur « ville associée ». La Folle Histoire des Arts de la Rue est rythmée par la formule : 1 ville, 1 compagnie, 1 semaine ! Le Temps fort aura lieu du 1er au 9 novembre : la ville de Salon-de-Provence accueillera le florilège de La Folle Histoire, semaine durant laquelle toutes les compagnies seront réunies et présenteront plusieurs de leurs spectacles. Au final, une quarantaine de spectacles seront programmés durant les 6 semaines… L’occasion de découvrir ou de re-découvrir le répertoire des compagnies.


La Folle Histoire des Arts de la Rue c’est aussi des outils de médiation qui invitent les publics  à entrer au plus près dans la démarche artistique des compagnies, à découvrir les processus de création et d’improvisation des artistes, à partager leurs perceptions de la ville et des lieux… Mis en œuvre spécifiquement pour la manifestation, le Bus-expo de La Folle Histoire (voir l'illustration) est un de ces dispositifs de médiation proposés en plus des spectacles. Il s’agit d’une exposition itinérante qui va au-devant des publics pour dérouler, de façon illustrée et interactive, l’Histoire des Arts de la Rue à laquelle les artistes donnent vie par leurs spectacles. Le Bus-expo entamera une tournée départementale dès la mi-septembre avant de s’implanter dans chacune des 6 villes, en suivant le rythme des compagnies, à partir du 29 septembre.

 

Le Printemps dans les collèges 

 

Dans la perspective de sensibilisation et d’accompagnement des publics aux Arts de la rue, axe fort du projet, nous avons mis en œuvre un programme d’actions culturelles dans 8 collèges du département. En tant que chargée des actions culturelles, ma mission a principalement consisté dans la conception et la mise en œuvre de ce programme. Conçu comme un dispositif à part entière, Le Printemps de La Folle Histoire des Arts de la Rue dans les collèges est une action de préfiguration de La Folle Histoire qui s’est déroulé de mars à juin 2008 : il en reprend les 3 axes principaux (spectacles, actions culturelles et connaissance des arts de la rue). Nous avons donc réalisé une mallette pédagogique sur les Arts de la rue, avec entre autres un Cd-rom interactif visant à sensibiliser les collégiens sur le patrimoine vivant des Arts de la rue dans le département des Bouches-du-Rhône, des ateliers de pratique artistique avec des artistes de 3 compagnies programmées à l’automne, et des spectacles dans les collèges concernés.

 

En dépit des délais très rapides  dans lesquels nous avons dû concevoir et mettre en œuvre ce programme avec les enseignants (3 mois environ), ces derniers ainsi que leurs élèves ont émis, de manière globale, des retours très positifs sur cette expérience. Pour la plupart des enseignants impliqués, il s’agissait d’une première rencontre approfondie avec les Arts de la rue. Des envies de pérenniser ou d’amplifier ce type de dispositif ont émergé dans plusieurs collèges… Les enseignants semblent, en effet, en recherche de nouvelles expériences artistiques et culturelles qui viendraient renouveler les pratiques culturelles habituellement proposées dans le circuit scolaire… En outre, l’aspect pluridisciplinaire des Arts de la Rue résonne positivement chez les enseignants qui voient dans ces arts « tout terrain » des liens potentiels avec plusieurs enseignements dispensés au collège… Et également une dynamique intéressante pour des projets pédagogiques réunissant plusieurs enseignants de disciplines différentes. L’optimisation de ce genre de dispositif doit donc, à mon avis, porter sur une mise en lien plus évidente entre les enseignements dispensés et les apports pédagogiques et culturels des pratiques artistiques proposées.  

 

A l’automne, dans le temps de la manifestation, les actions culturelles se destinent davantage aux publics de structures associatives, sociales et culturelles autour d’un outil : Le Bus-Expo de La Folle Histoire. Ainsi, la seconde partie de ma mission concerne à la fois la réalisation du Bus-Expo, dans la recherche de ressources iconographiques et vidéo, et également l’identification de publics pour la diffusion du Bus-Expo. Le travail en direction des publics consistera dans des visites décalées, réalisées par des comédiens des Arts de la rue, et des rendez-vous avec les compagnies autour du bus. Nous souhaitons également re-rencontrer les enseignants et collégiens ayant participé au Printemps de La Folle Histoire en les conviant à assister aux spectacles et à découvrir le Bus-expo.

 

 


Dans la perspective de développer et d’accroître le travail d’actions culturelles mené au printemps, nous mettons également en œuvre une formation sur les Arts de la Rue pour les enseignants de collèges et lycées en collaboration avec le Rectorat de l’académie d’Aix-Marseille. Ce projet de formation vise à sensibiliser les enseignants à ce champ artistique, d’une manière approfondie, en créant des allers-retours entre théories sur les Arts de la rue et pratique par le fait d’assister aux spectacles programmés dans le cadre de La Folle Histoire. Trois regards complémentaires, ceux de Michel Crespin, Pascal Le Brun-Cordier et Maud Le Floch’, guideront les enseignants dans cette exploration ; les spectacles, quant à eux, viendront nourrir et illustrer les thématiques abordées. Cette formation a pour objectif de donner des clés aux enseignants afin qu’ils s’approprient plus facilement les problématiques relatives aux arts de la rue, et par extension à la création en Espace public, et de susciter des envies pour la réalisation de projets pédagogiques au sein de leur établissement. Les professeurs impliqués au printemps et intéressés pour poursuivre des projets relatifs aux Arts de la rue dans leur collège sont donc prioritairement invités à suivre cette formation. Grâce à ce stage, nous souhaitons également établir un suivi dans la relation avec les enseignants déjà impliqués et en rencontrer de nouveaux.

 

Depuis la fin du Master : ce qui a changé, ce qui demeure…

 

J’ai terminé la formation du Master 2 Projets Culturels dans l’Espace Public depuis 1 an et demi environ. J’ai choisi d’expérimenter La Folle Histoire et un nouveau territoire, d’abord en tant que stagiaire, puis en CDD. En un an et demi, mon regard sur les réalités professionnelles de notre secteur a beaucoup évolué : surprises, déceptions, agacements, interrogations… La formation favorise la capacité d’analyse sur de nombreux projets culturels et la distanciation critique par rapport à nos propres travaux, projets d’étudiants… Je pense qu’il est important de garder ce « regard neuf » face à chaque nouveau projet, une distance critique par rapport aux actions mises en œuvre et des clés pour l’optimisation… Même si on vous fait remarquer que « vous êtes encore jeunes » pour savoir… !  Nourrir les réflexions apportées, les expérimenter, les critiquer, les formaliser…


Malheureusement,  souvent dans les projets réalisés il n’y a pas de budget dévolu à l’évaluation… Certes, les budgets sont dans la plupart des cas déjà très restreints et on les concentre, de manière justifiée, sur les actions et le fonctionnement… Mais il me paraît très frustrant, et quelque part gênant, de produire sans avoir de retours directs des publics, de ne pouvoir mesurer l’impact des actions mises en œuvre et encore davantage lorsque les multiples dispositifs déployés visant à accompagner les publics participent de la dynamique intrinsèque du projet. Cette « foi » dans l’évaluation provient certainement de mes expériences professionnelles précédentes relatives au domaine des études de publics : j’ai réalisé plusieurs études en lien avec  la réception de dispositifs de médiation. Ces travaux d’analyse, de réflexion sur les publics m’ont permis d’avoir des repères, une capacité d’expertise pour la conception et la mise en œuvre de projets. Aujourd’hui ce qui me paraît important réside dans ce savoir, toujours instable, visant à articuler le plus justement possible la réflexion sur des publics identifiés et une action à développer… afin de formuler des propositions de qualité. L’évaluation n’est qu’un moyen pour optimiser l’action… arrêtons de la diaboliser et servons nous en intelligemment !

Marion Blet (août 2008)


Marion Blet est chargée des actions culturelles au sein de Karwan, pôle de développement et de diffusion des arts de la rue et des arts du cirque (Marseille). Elle était étudiante au sein du Master Projets Culturels dans l'Espace Public en 2006-2007. 

http://www.karwan.info

http://www.follehistoire.fr

Pour plus de renseignements sur La Folle Histoire des Arts de la Rue : Karwan : 04 96 15 76 30



Témoignage de Cécile Cano, chargée de mission Culture, au Pays de Cocagne, en Midi-Pyrénées. Type de contrat : CDD d'un an renouvelable (convention territoriale de 3 ans). Témoignage transmis en décembre 2007.

"Je suis chargée de mission culture pour le Pays de Cocagne (voir aussi) en Midi-Pyrénées : 6 intercommunalités et 69 communes sur les départements du Tarn et de la Haute Garonne. Les Pays sont des formes territoriales relativement récentes (3 ans d’existence pour les plus anciennes sur cette région), mises en place et conduites avec l’accompagnent du Conseil Régional.

Intervention artistique dans un champ, à Fiac

Mon travail consiste en la coordination et la mise en place d’une ligne directive de politique culturelle, appliquée au développement du territoire, et ce, pendant 3 ans. Je travaille donc avec l’ensemble des associations et des élus, afin de proposer et mettre e
n place des propositions artistiques structurantes pour le Pays : création d’équipements culturels, travail artistique autour du patrimoine matériel et immatériel, valorisation des manifestations majeurs, émergences de nouvelles formes d’expression, etc. Au côté d’un comité de pilotage et de groupes thématiques, je tente d’ « ouvrir le territoire » par le biais des dispositifs des Conseils Généraux et du Conseil Régional, avec qui nous travaillons en étroite collaboration. Tout cela est possible grâce à la réalisation préalable par un cabinet d’étude, d’un schéma de développement culturel (diagnostic et préconisations) et qui a été à l’origine de mon recrutement.

A la sortie du Master, mon profil était clairement orienté vers la création de projet et l’art contemporain. L’emploi « idéal » que je visualisais a finalement été très différent de l’emploi que j’occupe actuellement. L’attente a été un peu longue pour trouver ce dernier, mais il a en finalité permis de réunir l’ensemble des profils d’intérêt que je menais en parallèle depuis le début de mes études : la conduite de projet, l’ingénierie couleur, ainsi que la création contemporaine et ses formes d’expression nouvelles. Mon territoire est en effet emprunt d’un passif autour du pastel, et de la réflexion couleur ; c’est un territoire dit rural très ouvert aux créations nouvelles.

C’est un emploi que j’occuperai pour au maximum trois années. Il s’agit donc d’une mise en place territoriale du sujet culturel quelque peu expérimentale. Et c’est cette vision « in progress » qui motive mon investissement aujourd’hui. L’ensemble des enseignements reçus durant le Master 2 Projets Culturels dans l'Espace Public prend désormais sens et application pour moi.

Si je devais donc vous prodiguer quelques conseils : prendre chaque emploi, avec curiosité et désir, comme une nouvelle manière d’envisager ses méthodologies et savoir faire. Vous ne trouverez peut être pas immédiatement l’emploi idéal à vos yeux, mais nourrissez-vous au maximum de ces emplois intermédiaires, qui sont finalement de nouvelles occasions d’apprendre et de faire vos marques sur le territoire d’action culturelle. Et ne vous découragez pas durant votre période de recherche. Pour moi, elle aura durée plus de six mois : six mois d’auto courage, d’auto conviction, d’auto énergie ! Mais si on a envie de s’investir dans le monde culturel, ça se finit toujours bien.

Plein de courage pour vous tous et n’hésitez pas à me contacter au besoin."

Cécile Cano, étudiante au sein du Master Projets Culturels dans l'Espace Public en 2005-2006. Témoignage transmis en décembre 2007.



Un projet développé par Kafui Kpodéhoun, étudiante au sein du Master Projets Culturels dans l'Espace  Public en 2006-2007 : Comme un été.

Quelle urbanité pour les non-lieux de la ville contemporaine ? La triple médiation des nouveaux médias, un article de Kafui Kpodéhoun, dans le cadre du projet Ludigo.



Consulter le site des anciens Etudiants de la Sorbonne



Art [espace] public 2010

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Art [espace] public est un cycle de rencontres-débats et d'expériences singulières, proposé depuis 2007 par le Master Projets Culturels dans l’Espace Public, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, en partenariat avec Stradda, magazine de la création hors les murs. 

Après avoir abordé depuis trois ans une trentaine de thèmes, en compagnie d’une centaine d’invités et plus d’un millier de participants (artistes, chercheurs, opérateurs culturels, acteurs de l’urbain, élus...), nous allons, pour cette 4ème édition :
 

1 — resserrer notre questionnement autour d’une interrogation transversale : en quoi la création artistique en espace public est-elle politique ? Au fil des semaines, nous préciserons la question. Est-ce par les thèmes qu’elle aborde ? Par ses formes ? Par les contextes où elle se déploie ? Par son lien avec les lieux ? Par les modalités de sa mise en œuvre ? Par son pouvoir de perturbation ? Par les « partages du sensible » inédits qu’elle propose ? Par les possibles qu’elle suggère ? Et lorsqu’elle peut être considérée comme politique, est-ce de manière cosmétique ou profonde ? Et pour qui ? Lors de la dernière rencontre, une synthèse sera tentée.

2 — élargir nos modalités d’exploration au-delà de la classique rencontre-débat : avec un parcours sensoriel, un workshop, une visite nocturne d’un terrain en friche, un carnaval, des performances et des spectacles. Parce que nous pensons que la pensée ne passe pas que par les concepts mais aussi par les « percepts » (Gilles Deleuze) qui s’éprouvent dans la rencontre artistique et dans l’expérience esthétique.

3 — sortir des amphithéâtres de la Sorbonne : en nous installant à la Ferme du Bonheur à Nanterre, à l’Avant Rue, lieu de résidences théâtrales à Paris, au Théâtre au Fil de l’Eau à Pantin, au WIP Villette, nouveau lieu dédié au dialogue entre arts et société, à la Mairie du 20ème arrondissement à Paris, et à Romans dans la Drôme. Pour explorer d’autres lieux, nouer des liens avec ceux qui les font vivre, et tenter d’autres formes de rencontres.
 
L'espace public sera envisagé comme espace physique, ouvert ou couvert, lieu commun situé entre les espaces privés, mais aussi comme espace socio-politique, symbolique, lieu de visibilités et de débats publics. Dans les deux cas, c'est un espace dont nous pensons que les artistes peuvent activer ou réactiver la dimension publique, sensible, poétique ou politique, contrecarrant peu ou prou les logiques d’aseptisation, de privatisation ou de dégradation symbolique dont il est souvent affecté, et touchant une population souvent différente de celle habituellement concernée par l’offre artistique et culturelle institutionnelle. 

Ce cycle 2010 a donc été imaginé pour tester et mettre en jeu treize hypothèses relatives aux pouvoirs politiques de l’art en espace public, avec les dix-sept étudiant.e.s du Master Projets Culturels dans l'Espace Public et de nombreux partenaires. Et avec vous ? 

 

Pascal Le Brun-Cordier 
Professeur associé, directeur du Master 
Projets Culturels dans l'Espace Public
 


RETOUR EN IMAGES SUR L'EDITION 2010 AVEC CES ENTRETIENS RÉALISÉS À L'ISSUE DES RENCONTRES : 

 


PROGRAMME, INFOS PRATIQUES ET INSCRIPTIONS : 


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1. De l'espace poétique à l'espace politique. Une soirée à la Ferme du Bonheur. 

À deux pas de la Défense, un théâtre fait de tôles et de bois, une dizaine de lapins et autant de gallinacés, la truie Valérie, l’âne Moshe-Mohammed-Rinpoché-Jésus et des moutons en voie de disparition peuplent la fameuse Ferme du Bonheur. Créé par Roger des Prés sur un délaissé urbain de la ville de Nanterre, ce lieu de vie, de culture et « d’agro-poésie » existe depuis 17 ans. L’équipe de la Ferme s’est récemment emparée d’une des dernières friches encore sauvages et libres de ce territoire marqué par de nombreux projets d’aménagements urbains. Ayant pris « autorité publique », elle a défriché avec les artistes en résidence, les voisins et le public, près de deux hectares entre la Seine et l’Arche. En quoi ces espaces poétiques sont-ils aussi politiques ? Quelle cohabitation singulière proposent-ils entre le végétal et le béton, entre l’animal et l’homme, entre la poésie et l’institution ?

Avec Roger des Prés, notre hôte, Gilles Clément, jardinier, paysagiste, visiteur fidèle de la Ferme, et Vinciane Despret, psychologue, philosophe du vivant. Il y aura du feu dans la cheminée, une soupe dans la marmite et du vin chaud... 

Vendredi 15 janvier 2010, 19h-21h (+ dès 14h *, et après 21h30**...), à la Ferme du Bonheur
, 220 avenue de la République, 92000 Nanterre. C'est à 8 mn à pieds de la station Nanterre Université, RER A. Traversez la fac, longez la palissade des poètes. Entre les deux pianos : une porte en bois. IL N'EST PLUS POSSIBLE DE S'INSCRIRE À CETTE RENCONTRE (250 PLACES : CAPACITÉ D'ACCUEIL ATTEINTE).

* Et puisque Roger des Prés éructe souvent "ASSEZ DE PAROLES ! DES ACTES !", il nous propose aussi une balade-atelier dans le P.r.é., Parc rural expérimental, l'après-midi (pioches, bêches, sécateurs, gants... fournis). Rdv dès 14h à la Ferme ! 
** Après la rencontre-débat, à partir de 21h30, Électrod’bal (DJ Cornet Bap'tata et les Mix Cocottes) et exploration aux chandelles du P.r.é. 

Rencontre co-organisée avec la Ferme du Bonheur, préparée par Lise Bénard, Emmanuelle Jolivet, Lucie Lemaitre, Anne Métrard, Lucie Piard, Charlotte Rougier, dans le cadre du cycle art [espace] public 2010, proposé par le Master Projets Culturels dans l'Espace Public. 

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2. Un monde qui nous regarde. Rencontre avec JR. 
JR a 26 ans. Il photographie des femmes et des hommes pour exposer leur visage dans les rues du monde et faire voyager leur histoire. Selon cet artiste activiste, leur portrait n’est qu’une partie de l’œuvre : sur un train et sur les toits d'un bidonville au Kenya, sur les murs d'une favela de Rio, sur les quais de l'Ile Saint-Louis à Paris, sur le mur qui sépare israéliens et palestiniens, mais aussi au Liberia, au Cambodge, à Montfermeil, c’est toute la population locale qu’il implique et interpelle. En transformant l’espace public, ses images éphémères, subtiles et spectaculaires, intimes et publiques, impriment la mémoire collective et construisent un monde qui nous regarde. JR nous présentera plusieurs de ses projets, nous racontera comment il les construit et comment ils sont perçus. 

Avec JR, artiste activiste. 

Vendredi 22 janvier 2010, 19h-21h, à La Sorbonne. 
IL N'EST PLUS POSSIBLE DE S'INSCRIRE À CETTE RENCONTRE (CAPACITÉ D'ACCUEIL — 600 PLACES — ATTEINTE).

Rencontre préparée par Zoé Dehays, Gaëlle Hermant, Mélissa Makni, Nancy Roquet et Charlotte Rougier, dans le cadre du cycle art [espace] public 2010, proposé par le Master Projets Culturels dans l'Espace Public. 

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3. La ville, terrain de jeu, espace des possibles. Rencontre & parcours sensoriel
Peut-être les avez vous déjà croisés ? Athlètes et artistes, ils dansent dans le vide, sautent de murs en murs, s'emparent de la ville, déjouant les contraintes par l'imaginaire. En ouvrant de nouveaux possibles, ils subvertissent le rapport à l'espace public. La ville devient terrain de jeu, apparaît libérée d'une fonctionnalité formatée. Comment leurs pratiques détournent-elles les usages urbains ? Quel regard nouveau sur la ville provoquent-elles ? Quels sens politiques et poétiques portent ces conquêtes de l'espace public ? 

Invités : Fabrice Guillot, co-fondateur de la compagnie de danse aérienne Retouramont, développe une chorégraphie contemporaine qui se déploie sur les façades et dans le ciel des villes ; Naïm Bornaz, alias L’1consolable, rappeur, auteur et beatmaker, pratique l’art du déplacement, appelé aussi « parkour ».

Vendredi 29 janvier 2010, 19h-21h (puis entre 21h et 23h), à l’Avant Rue
, 134 rue de Tocqueville, Paris 17ème, Métro Villiers ou Wagram. IL N'EST PLUS POSSIBLE DE S'INSCRIRE À CETTE RENCONTRE (CAPACITÉ D'ACCUEIL ATTEINTE).

À 21h, vous pourrez suivre un parcours sensoriel imaginé par les intervenants pour éprouver physiquement les questions abordées pendant la rencontre. Restauration légère proposée au bar de l'Avant Rue.

Rencontre organisée avec l’aide de l’Avant Rue, lieu de résidence pour des formes hybrides et inclassables, préparée par Lise Bénard, Clémentine Cassard, Cécile Di Filippo, Gaëlle Hermant et Doriane Roche, dans le cadre du cycle art [espace] public 2010, proposé par le Master Projets Culturels dans l'Espace Public. 

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4. Nouveaux langages des corps urbains. Conférence dansée
Les nouveaux langages de la danse en espace public prennent des formes souvent surprenantes : déambulations, danse verticale, parkour, danse partagée, danse du quotidien... Dans un rapport renouvelé avec les "spectacteurs", ces artistes se jouent des frontières entre le réel et la représentation. Les ingrédients du jeu de l'infra-ordinaire et du simulacre, dans un espace postmoderne en mutation perpétuelle, semblent inépuisables. Avec cette pittoresque conférence dansée, proposé dans le cadre du PARDI, Bénédicte Pilchard nous offre un exemple de (re)conversion du corps classique en un corps à dimension publique, au service d'une communication universelle. Quels sont les enjeux de ce projet ? Allons-nous vers un espéranto gestuel pouvant dépasser les frontières de l'espace et du langage oral ?

Avec Bénédicte Pilchard, danseuse et chorégraphe. Et la participation d'Alain Garnier, Ministère de la Culture et de la Communication, chargé de la formation.

Vendredi 5 février 2010, 19h-21h à l'Avant Rue
, 134 rue de Tocqueville, Paris 17ème, Métro Villiers (13 mn de marche) ou Wagram (10 mn de marche). La rencontre se poursuivra autour d'un verre au bar de l'Avant Rue. IL N'EST PLUS POSSIBLE DE S'INSCRIRE À CETTE RENCONTRE (CAPACITÉ D'ACCUEIL ATTEINTE).

Cette conférence dansée est proposée dans le cadre du PARDI, Plan d'Accompagnement à la Reconversion des Danseurs Interprètes. Remerciements à Agnès Pelletier, Pascal Rome et à la compagnie Volubilis. En collaboration avec la ville de Champigny-sur-Marne. 

Rencontre organisée avec l’aide de l’Avant Rue, lieu de résidence pour des formes hybrides et inclassables, préparée par Victor Leclère, Lucie Lemaitre et Doriane Roche, dans le cadre du cycle art [espace] public 2010, proposé par le Master Projets Culturels dans l'Espace Public. 


 

 

 


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5. Action artistique & Éducation populaire : de nouvelles formes s'inventent ?
Ici et là, des artistes et des acteurs culturels œuvrent à la construction d'une société où l'individu est engagé en conscience dans la construction du monde. Dans un quartier de Pantin, Guy Benisty invente un théâtre où la rencontre avec le public est pensée comme le cœur du processus de création. Dans la campagne de la Nièvre, Jean Bojko imagine des situations artistiques décalées qui partent des gens et des questions sociales. L’esprit n’est pas sans rappeler celui de l’Éducation populaire, un mouvement dont les formes institutionnelles semblent souvent dépassées, sclérosées, déconnectées des réalités contemporaines. En partant de projets précis, il s’agira d'engager une réflexion sur ces formes nouvelles d'action artistique contribuant à la seule transformation sociale durable : celle qui passe par l’émancipation de chacun. 

La présentation des démarches de Guy Benisty, directeur artistique du GITHEC (Groupe d'Intervention THéâtrale ECt...), de Jean Bojko, artisan de la vie en commun au sein du TéATR'éPROUVèTe, et Max Leguem, directeur de la MJC de Ris Orangis, sera suivie d'un débat animé par Valérie de Saint Do, journaliste (Cassandre/Horschamp), auquel participeront notamment Nicolas Fasseur, responsable pédagogique de l'Université Populaire expérimentale de Paris 8 Saint-Denis, président de Peuple et Culture Ile-de-France, Mehdi Derfoufi, directeur de Tausend Augen (revue des cultures audiovisuelles), Claude Lechat, directeur du développement culturel de la Ville de Pantin... En présence des apprentis-chercheurs, animateurs de l'Université Populaire expérimentale de Paris 8 Saint-Denis.

Vendredi 12 février 2010, 19h-21h30, au Théâtre au Fil de l'Eau
, 20 rue Delizy, à Pantin (Métro Église de Pantin). Boissons et restauration légère proposés sur place. IL N'EST PLUS POSSIBLE DE S'INSCRIRE À CETTE RENCONTRE (CAPACITÉ D'ACCUEIL ATTEINTE).

Rencontre organisée en partenariat avec la revue Cassandre et la Ville de Pantin, préparée par Lise Bénard, Anne Métrard et Charlotte Rougier, dans le cadre du cycle art [espace] public 2010, proposé par le Master Projets Culturels dans l'Espace Public. 

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CASSANDRE

 
 

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6. Comment le théâtre documentaire déplace-t-il le réel ? Rencontre avec Stefan Kaegi
La force des spectacles du metteur en scène suisse Stefan Kaegi (Rimini Protokoll) tient à la présence sur scène d'« acteurs-experts » jouant leurs propres rôles : chauffeurs de poids lourds bulgares dans Cargo Sofia-X, employés indiens de call centers dans Call Cutta in a box, enfants de l’élite internationale genevoise dans Airport kids, et pour son dernier spectacle, muezzins travaillant dans des mosquées du Caire. Inspiré par les problématiques liées à la mondialisation, ce théâtre documentaire d'une grande originalité scénographique utilise l’art dramatique comme « piédestal pour y mettre la vie ». Quelle expérience du réel propose-t-il aux spectateurs ? Que se joue-t-il sur cette frontière entre intimité dramaturgique et espace public ? Comment ces nouvelles formes théâtrales modifient-elles notre rapport au monde ? 

Avec Stefan Kaegi, metteur en scène, Rimini Protokoll.

Vendredi 19 février 2010, 17h30-19h30 au WIP Villette
, Métro Porte de la Villette (sur le parvis). Pour vous inscrire à cette rencontre. Formulaire d'inscription

Rencontre organisée en partenariat avec le WIP Villette, préparée par Marina Bourdais, Elsa Ossart et Victor Leclère, dans le cadre du cycle art [espace] public 2010, proposé par le Master Projets Culturels dans l'Espace Public. 

Après la rencontre-débat, à 20h30, vous pourrez assister au spectacle de Stefan Kaegi / Rimini Protokoll, Radio Muezzin, à la Grande Halle de la Villette. Réservez sur le site de La Villette

 

 

 

 

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Radio Muezzin / Stefan Kaegi (Rimini Protokoll), pièce de théâtre en arabe surtitré en français
Le Caire de nos jours. La ville aux trente mille mosquées résonne au son des centaines de voix des muezzins qui officient cinq fois par jour depuis des millénaires. Bientôt, le ministère de la Religion substituera ce rite ancestral par un procédé de radiodiffusion automatique enregistré par une trentaine de muezzins choisis sur concours. Qu'adviendra-t-il de cette cérémonie dont la « cacophonie » recèle la richesse culturelle de l'appel à la prière ? Qu'adviendra-t-il de ces centaines de voix vouées au silence ? En invitant quatre muezzins cairotes à monter sur scène pour raconter leur parcours singulier et l'attachement à leur mission, Stefan Kaegi révèle toute la profondeur de cet art. Entre leurs mots et les images vidéo de leur vie quotidienne, émergent de nouvelles voix qui décrivent la mutation sociale et culturelle de ce cérémonial.

Stefan Kaegi étudie les arts visuels à Zürich puis le théâtre dans ses formes les plus contemporaines à l'Institut d'études théâtrales de l'université de Giessen. En 2000, il fonde Rimini Protokoll avec Helgard Haug et Daniel Wetzel autour de l'idée d'un théâtre documentaire. Ils produisent des « ready-made documentaires transférables sur scène », et mettent en scène des amateurs qu'ils nomment des « acteurs-experts ».

Du 16 au 20 février 2010, Grande Halle de la Villette (Métro Porte de Pantin). Mardi, mercredi, vendredi et samedi à 20h30 / Jeudi à 19h30. Entrée payante ; réservation indispensable : www.villette.com ou 01 40 03 75 75. 

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7. Le carnaval peut-il encore avoir un sens politique ? Rencontre-débat et immersion carnavalesque.
Entre le défilé animatoire insignifiant et la fête clinquante pour touristes, les carnavals contemporains semblent avoir perdu tout lien avec leurs origines mythologiques et politiques. À Romans, où eut lieu il y a 430 ans un terrible carnaval étudié par l’historien Emmanuel Leroy-Ladurie, des élus, des citoyens, des artistes voudraient réinventer la tradition pour lui redonner puissance et signification. Comment relier le carnaval aux grandes questions d’aujourd’hui ? Comment impliquer les artistes dans la fête tout en favorisant la participation des citoyens ? Organisée quelques heures avant le début du carnaval, cette rencontre sera l’occasion de rappeler ce que fut cette tradition, et d’imaginer ce qu’elle pourrait devenir

Avec André Barlatier, ancien chargé d’action culturelle de Romans ; Henri Bertholet, maire de Romans ; Émilie Jungo, adjointe au maire de Romans, chargée de la culture ; Laurence Lopez, directrice des affaires culturelles de Romans ; Juan Martinez, coordinateur du carnaval, metteur en scène et comédien ; Christian Watremez, adjoint au maire de Romans, chargé de l'éducation, écrivain, auteur de 1580, Carnaval sanglant à Romans, une lutte contre les paradis fiscaux. Rencontre présentée par Pascal Le Brun-Cordier.

Vendredi 26 février 2010, 10h-12h30 à Romans-sur-Isère
(Drôme), salle des arcades, 4 rue St Just. Puis, du vendredi 14h30 au samedi minuit dans les rues de Romans. IL N'EST PLUS POSSIBLE DE S'INSCRIRE À CETTE RENCONTRE (CAPACITÉ D'ACCUEIL ATTEINTE).

Cette rencontre, mise en place avec l’aide de la ville de Romans, s’inscrit dans le cadre du séminaire « Le carnaval : réinventer la tradition » organisé à Romans du 25 au 27 février 2010, par le CNFPT, Centre national de la fonction publique territoriale, ENACT de Montpellier (Micheline Vaillancourt), et dans le cadre du cycle art [espace] public 2010, proposé par le Master Projets Culturels dans l'Espace Public.  

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James Ensor, L'Intrigue, 1890 (détail). 

 
 

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8. Comment les genres traversent la rue ? Atelier et rencontre-débat
Le genre désigne la dimension sociale et culturelle des identités sexuées : masculin, féminin, etc. Comment cette notion croise-t-elle l'espace public ? En quoi nos manières d'occuper la rue, de marcher, de nous vêtir, d'interagir avec les autres constituent-elles des « performances de genre » ? L'espace public est-il « genré » par ceux qui le fabriquent ou par ceux qui l'habitent ? Ces questions seront au cœur de cette rencontre-débat à la croisée des genres, autant conférence que performance, imaginée par Anne Morel, comédienne et metteur en scène, Mathias Gourdot, rappeur et comédien (la Gender Conférence) et les étudiant.e.s du Master Projets Culturels dans l'Espace Public. Au cours de cette soirée, seront notamment présentées des démarches d'artistes et d'activistes qui, depuis une vingtaine d'années, interrogent l'ordre des genres en troublant l'espace public.

Vendredi 5 mars 2010, 19h-21h au WIP Villette
, Métro Porte de la Villette (sur le parvis).
Formulaire d'inscription


Rencontre organisée en partenariat avec le WIP Villette, préparée par Marina Bourdais, Sandra Gicquel, Emmanuelle Jolivet, Victor Leclère, Lucie Piard et Nancy Roquet, dans le cadre du cycle art [espace] public 2010, proposé par le Master Projets Culturels dans l'Espace Public. 

Cette rencontre sera préparée dans le cadre d'un workshop de deux jours, conçu par la compagnie Sans Titre avec les étudiant.e.s du Master Projets Culturels dans l'Espace Public, proposé par le WIP Villette.
 



 

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9. L’affaire du Nuage Vert. Rencontre-débat
« Le 27 mars 2009, un nuage vert apparaît dans le ciel de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). Le panache de fumée qui s’échappe de la cheminée de l’incinérateur luit d’une couleur intense. Le phénomène est observé une première fois à 19h durant vingt minutes, puis une nouvelle fois vers 20h15, avant de disparaître à 21h20. » (Libération, 3 juin 2009) À l’origine de ce mystérieux nuage, un projet du duo artistique HeHe qui vise à provoquer une prise de conscience écologique collective par la mise en lumière de la question environnementale. Mis en place en dépit des refus de la ville de Saint-Ouen et de la direction de l’usine, cette action artistique a suscité une vive polémique. Également réalisé à Helsinki en 2008, avec des résultats très différents, ce projet a été élu « œuvre de l'année » par la Fondation d’art environnemental de Finlande et a reçu de nombreux prix dans des festivals internationaux. Comment a-t-il vu le jour ? À qui appartient le ciel ? Quelles ont été les retombées de ce nuage vert poétique et politique ?

Avec le collectif Hehe et plusieurs des acteurs impliqués dans l’affaire du Nuage Vert. Et la participation de Guy Tortosa, critique d’art. 

Vendredi 12 mars 2010, 19h-21h, à La Sorbonne
, amphi Richelieu, 17 rue de la Sorbonne (place de la Sorbonne), Paris 5e, métro Cluny-Sorbonne ou Saint-Michel, ou RER Luxembourg. Formulaire d'inscription.

Rencontre préparée par Clémentine Cassard, Zoé Dehays, Cécile Di Filippo, Sandra Gicquel, Gaëlle Hermant, Emmanuelle Jolivet, Mélissa Makni, Anne Métrard et Lucie Piard, dans le cadre du cycle art [espace] public 2010, proposé par le Master Projets Culturels dans l'Espace Public. 
 

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10. Marionnette tout terrain : quels enjeux ?
Organisée à l’occasion de la 3ème édition d’OMNIprésences — manifestation du Théâtre de la Marionnette à Paris proposant des spectacles de marionnette dans des lieux inhabituels : au comptoir d’un bar, dans les couloirs d’une université, dans des églises, des maternités, au milieu de vos meubles... —, cette rencontre permettra d’échanger avec les artistes et les hôtes qui participent à ces expériences singulières visant à faire sortir les spectacles des théâtres. Comment s’inventent ces projets ? En quoi permettent-ils de donner au quotidien un sens nouveau, de croiser des regards qui ne connaissaient pas la marionnette ? Nous découvrirons les multiples formes que prennent ces rencontres atypiques entre un lieu, ses usagers et une équipe artistique.

Samedi 13 mars 2010, 14h30-16h30, au CNAM, amphi JB Say (Y), 292 rue St Martin Paris 3ème, métro Arts et Métiers ou Réaumur Sébastopol
Formulaire d'inscription.

Rencontre-débat co-organisée avec le Théâtre de la Marionnette à Paris, préparée par Elsa Ossart et Charlotte Rougier, dans le cadre du cycle art [espace] public 2010, proposé par le Master Projets Culturels dans l'Espace Public.


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Le Nouveau Spectacle Extraordinaire / Cie Les Rémouleurs Spectacle dans des lieux historiques – Adultes
Avec pour trame l’histoire du Masque de la Mort Rouge d’Edgar A. Poe, les spectateurs assistent à une visite historique du prestigieux lieu dans lequel, il y a de nombreuses années, se sont déroulés d’étranges et inquiétants faits. Déambulations dans des couloirs cachés, objets venus d’un autre temps, reflets troublants, ombres colorées sur fond de Ravel, Britten, Ligeti, Janacek, Bartok, Crumb... Une façon singulière de (re)découvrir ce lieu hautement symbolique qu’est le site de l’Université Panthéon.

Une coproduction Les Rémouleurs / Espace Malraux - Scène Nationale de Chambéry et de la Savoie. Avec le soutien de la DRAC d’Ile-de-France – Ministère de la culture et de la communication

Du 1er au 4 mars 2010 à 19h au 12 place du Panthéon
- Durée : 2h – Tarifs : 12€ / 9€ / 7€ - Réservation indispensable au Théâtre de la Marionnette à Paris : 01 44 64 79 70 www.theatredelamarionnette.com

Ce spectacle est présenté en partenariat avec le Master Projets Culturels dans l'Espace Public de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, dans le cadre d’OMNIprésences, manifestation du Théâtre de la Marionnette à Paris qui propose des spectacles dans des lieux non théâtraux. Avec la collaboration de l’université Paris 2 Panthéon-Assas. Organisation (pour le Master PCEP) :  Cécile Di Filippo, Sandra Gicquel, Mélissa Makni. 

 

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11. Membros : le corps politique dans(e) la ville Rencontre-débat et démonstrations.
« Nous ne pouvons pas soigner les douleurs du monde, alors nous avons décidé de les danser. » Créée en 1999 à Macaé au Brésil, dans une région qui compte le taux d'homicides le plus élevé du pays, la compagnie de danse Membros a fait le pari d'une autre perspective de vie pour les jeunes de la ville. Au sein du CiemH², Centre des études intégrées du mouvement hip hop, elle façonne un hip hop aux inflexions contemporaines et résolument engagées, présenté sur les scènes et dans les rues de nombreux pays. Comment la compagnie Membros a-t-elle développé son langage chorégraphique ? Qu’est-ce qu’un corps politique ? Comment « danser la rue », sur la scène et dans la rue ? Paulo Azevedo, directeur artistique et chorégraphe, Tais Vieira, chorégraphe, et les danseurs de la compagnie Membros, répondront à ces questions en mots et en actes (un atelier sera proposé pendant la rencontre).

Vendredi 19 mars 2010, 17h30-19h30 au WIP Villette
, Métro Porte de la Villette (sur le parvis). 
Formulaire d'inscription
 

Rencontre organisée en partenariat avec le WIP Villette, préparée par Lise Bénard, Clémentine Cassard, Cécile Di Filippo, Doriane Roche, dans le cadre du cycle art [espace] public 2010, proposé par le Master Projets Culturels dans l'Espace Public. 

Après la rencontre-débat, à 20h30, vous pourrez assister au spectacle de la compagnie Membros, Medo, à la Grande Halle de la Villette (voir plus loin). 

 

 

 

 

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Medo / Cie Membros Création en danse hip-hop
Leur dernière apparition à la Villette en 2007 avec le sublime Febre nous avaient enchantés. De retour avec Medo, leur dernier opus, la compagnie brésilienne Membros boucle sa trilogie sur la violence cette fois conjuguée au féminin. Pour tenter de comprendre ce qui pousse une femme à passer à l'acte, les Membros se sont frottés aux réalités des femmes en centres de détention ou prisonnières de la prostitution. 
Antinomique de la figure féminine qui porte en elle les connotations de douceur, de maternité, de protection, la violence féminine s'avère pourtant parfois plus radicale que celle des hommes. C'est ce basculement brutal et obscur, irréel et banal à la fois, qu'ils explorent sur scène. Un basculement transcendé par l'engagement des corps de cinq danseuses entourées de sept danseurs, dans un univers musical alliant Beethoven et Chopin au funk, au heavy metal ou à la bossa nova.

Du 16 au 20 mars 2010, Grande Halle de la Villette
(Métro Porte de Pantin).
 Mardi, mercredi, vendredi, samedi à 20h30 / jeudi à 19h30. Entrée payante ; réservation : www.villette.com ou 01 40 03 75 75. 

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12. Quand l'art trouble l'ordre public. Rencontre-débat et performances.
L'intervention artistique dans l'espace urbain vise parfois à troubler « l'ordre public ». À quelles nécessités ces projets répondent-ils ? Dans quelle mesure peuvent-ils être souhaités par les pouvoirs publics ? Nos sociétés policées sont-elles prêtes à les accepter ? Sont-ils solubles dans la société du spectacle ? Le débat sera engagé avec trois artistes. Jacques Livchine, « metteur en songe » du Théâtre de l'Unité, figure historique des arts de la rue, se présente comme « organisateur de désordre » ; Christine Bouvier, performeuse, dirige le festival « Préavis de Désordre Urbain » ; Caroline Amoros est l’auteure de Kristin, un spectacle de rue qui a fait l'objet d'une plainte pour « outrage à la République » et « dégradation de la voie publique », à Cuers en mars 2008. Julien Bargeton, conseiller de Paris, premier adjoint à la Mairie du 20ème arrondissement, chargé de la culture et des finances, participera également à la rencontre, ainsi qu'Agnès Tricoire, avocate à la cour, spécialiste en propriété intellectuelle, conseil notamment de l'artiste chinoise Ko Siu Lan, dont une œuvre, accrochée sur la façade de l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, a été censurée pendant plusieurs jours début février. 

Vendredi 26 mars 2010, 19h-21h, Mairie du 20ème arrondissement de Paris
, Métro Gambetta. Formulaire d'inscription.

Rencontre préparée par Clémentine Cassard, Cécile Di Filippo, Emmanuelle Jolivet et Elsa Ossart, dans le cadre du cycle art [espace] public 2010, proposé par le Master Projets Culturels dans l'Espace Public.
 

 

Cette rencontre a été précédée d'un workshop de huit jours réalisé avec le collectif de performeurs Ornic'Art. Cette vidéo présente la neuvième performance réalisée le 25 mars 2010. Pour en savoir plus : http://performancepublicommando.over-blog.org

    

 

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13. L'espace public : exploration d'une notion, entre urbanisme et politique
L'enjeu de cette dernière rencontre est double : cerner la notion d'espace public dans sa dimension à la fois urbanistique et politique, constitutive de la ville et de la Cité, et en saisir les transformations contemporaines — ce que fera Thierry Paquot, philosophe de l'urbain, auteur d'un récent ouvrage sur ces questions. Dans un deuxième temps, avec plusieurs invités des rencontres précédentes et quelques observateurs avisés, nous reviendrons sur la question transversale du cycle art [espace] public 2010 — en quoi la création artistique en espace public peut-elle être politique ? — et tenterons une synthèse et une mise en perspective de ces douze semaines de débats, d'expériences et de spectacles. Des entretiens vidéos avec plusieurs invités du cycle seront diffusés, ainsi que des images des performances réalisées dans le cadre du projet Commando Belleville (workshop mené par les étudiants avec le collectif de performeurs Ornic'art). 

Avec plusieurs intervenants du cycle art [espace] public 2010, notamment Naïm Bornaz, rappeur, auteur et beatmaker, qui pratique l'art du déplacement (parkour), Roger des Prés, créateur de la Ferme du Bonheur, Valérie de Saint-Do, journaliste (Cassandre/Horschamp), Stéphane Simonin, directeur d'HorsLesMurs, co-rédacteur en chef de Stradda. Thierry Paquot ne pourra finalement pas participer à cette rencontre. 

Vendredi 2 avril 2010, de 19h à 21h, à La Sorbonne, amphi Richelieu, 17 rue de la Sorbonne (place de la Sorbonne), Paris 5e, métro Cluny-Sorbonne ou Saint-Michel, ou RER Luxembourg. Formulaire d'inscription.

Rencontre organisée par Marina Bourdais, Zoé Dehays, Victor Leclère, Mélissa Makni et Nancy Roquet, dans le cadre du cycle art [espace] public 2010, proposé par le Master Projets Culturels dans l'Espace Public. 

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28 Millimètres, Women Are Heroes - Action dans la favela Morro da Providência - août 2008 / © jr-art.net JR est l'invité de la rencontre du 22 janvier 2010.



PROGRAMME RESUME 

1. De l'espace poétique à l'espace politique. Une soirée à la Ferme du Bonheur. 
Rencontre-débat et exploration nocturne. Vendredi 15 janvier 2010. 

2. Un monde qui nous regarde. Rencontre avec JR.
Rencontre-débat. Vendredi 22 janvier 2010. 

3. La ville, terrain de jeu, espace des possibles.
Rencontre-débat et parcours sensoriel. Vendredi 29 janvier 2010. 

4. Nouveaux langages des corps urbains.
Conférence dansée. Vendredi 5 février 2010. 

5. Action artistique et Education populaire : de nouvelles formes s'inventent ?
Rencontre-débat. Vendredi 12 février 2010. 

6. Comment le théâtre documentaire déplace-t-il le réel ? Rencontre avec Stefan Kaegi.
Rencontre-débat suivie de Radio Muezzin, spectacle de Stefan Kaegi / Rimini Protokoll (présenté à La Villette). Vendredi 19 février 2010. 

7. Le carnaval peut-il encore avoir un sens politique ?
Rencontre-débat et immersion carnavalesque. Vendredi 29 février 2010. 

8. Comment les genres traversent la rue ?
Atelier et rencontre-débat. Vendredi 5 mars 2010. 

9. L'affaire du Nuage vert.
Rencontre-débat. Vendredi 12 mars 2010. 

10. Marionnette tout terrain : quels enjeux ?

Rencontre-débat. Samedi 13 mars 2010. Parallèlement : Le Nouveau Spectacle Extraordinaire, spectacle de la compagnie Les Rémouleurs (présenté à la Sorbonne)

11. Membros : le corps politique dans(e) la ville.
Rencontre-débat et démonstrations, suivies de Medo, spectacle de la compagnie Membros (présenté à La Villette). Vendredi 19 mars 2010. 

12. Quant l'art trouble l'ordre public.
Rencontre-débat et performances. Vendredi 26 mars 2010. 

13. L'espace public : exploration d'une notion, entre urbanisme et politique. 
Rencontre-débat et bilan du cycle art [espace] public 2010. Vendredi 2 avril 2010. 
      

 



Merci aux invités du cycle art [espace] public 2010, aux équipes des lieux qui nous accueillent, et à nos partenaires : à Malte Martin et à Louise Lacour, à Rochdy Laribi, performeur, directeur artistique d’Ornic’Art, Sarah Harper, Clotilde Fayolle, l’Avant Rue, Claude Lechat, directeur du développement culturel de Pantin, Morgane Le Gallic, directrice du spectacle vivant de Pantin, Roger des Prés, La Ferme du Bonheur, Danielle Bellini, DAC de Champigny-sur-Marne, Stéphane Simonin, directeur d’HorsLesMurs, Jean Digne, Président d’HorsLesMurs, Marie-France Ponczner, Rebecca Bouillou et aux équipes du WIP Villette, Julien Bargeton, adjoint au Maire du XXème arrondissement de Paris, chargé de la culture et des finances, Sophie Millot, chargée de mission à la Mairie du XXème arrondissement, Jean-Claude Colliard, Président de Paris 1, Catherine Germain, Présidence de Paris 1, Caroline Kazazian, service du planning de Paris 1, Jean-Marc Lehu, directeur de la communication de Paris 1, Catherine Rouchouse, Martine Solal,  Alexandrine Rose-Antoinette, à l’UFR 04 de Paris 1, Gisèle Grammare, directrice de l’UFR 04, Yann Toma, directeur adjoint, Bernard Darras, directeur du CRICC, Valérie de Saint-Do, Cassandre-Horschamp, Marion Boissier, Théâtre de la Marionnette à Paris, Anne Bitran, Pauline Hartmann, cie les Rémouleurs, Marine Budin, cie Membros, Emile Abinal, collaborateur de JR, Magali Giraud, le Genre Urbain, et aux appariteurs de la Sorbonne. Special thanks à Doriane Roche pour la conception des excellents flyers internet du cycle. 




Stradda, magazine de la création hors les murs, est partenaire du cycle art [espace] public. Abonnez-vous ! Gardez un œil sur l'actualité de l'art dans l'espace public : arts de la rue, arts du cirque, arts plastiques, danse, photographie, urbanisme... www.stradda.fr

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Trois rencontres et un atelier du cycle art [espace] public 2010 sont organisés en partenariat avec le WIP VILLETTELaboratoire permanent du dialogue arts / société. Cultures hip hop, nouveaux territoires de l’art, culture en prison ou à l’hôpital, pratiques amateurs, expressions des diversités, théâtre social, créations artistiques partagées, initiatives de démocratie culturelle, expériences participatives… La Villette ouvre un espace dédié à tous ces champs émergents et toutes ces expériences créatrices d’esthétiques nouvelles.  www.wip-villette.com

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Deux rencontres du cycle art [espace] public 2010 sont organisées à l'Avant Rue, lieu de résidence pour des formes hybrides et inclassables, à Paris 17ème. www.avantrue.fr

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Le Genre Urbain, librairie spécialisée sur la ville et l'urbain (30 rue de Belleville, 75020 Paris), est partenaire du cycle art [espace] public 2010. Elle proposera chaque vendredi soir une sélection d’ouvrages sur le thème de la rencontre-débat. www.legenreurbain.com

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Le cycle art [espace] public est organisé par le Master Projets Culturels dans l'Espace Public, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Les rencontres sont préparées et animées par les étudiant.e.s du Master. Pour en savoir plus sur la formation, l'équipe pédagogiqueles étudiant.e.s, les partenaires du Master. Pour affecter la Taxe d'Apprentissage de votre entreprise à notre formation (notre ressource principale pour développer nos projets), téléchargez ce document. Archives des cycles art [espace] public 200720082009. Voir aussi www.art-espace-public.c.la


Direction du cycle art [espace] public : Pascal Le Brun-Cordier. 


Infos presse.

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Retour en images sur le cycle art [espace] public 2010

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Ces entretiens ont été réalisés à l'issue des rencontres du cycle art [espace] public 2010

Une performance réalisée le jeudi 25 mars 2010 par les étudiants du Master.

À l'occasion des 150 ans de l'annexion du 20ème arrondissement avec le 11ème, au carrefour de Belleville, véritable point frontière entre quatre arrondissements, il s'agissait de former un manège coloré et poétique, rappelant le carrousel présent à côté du carrefour et la circulation de la journée. Parler de cette foule et de cette rotation incessante, en convoquant Edith Piaf, née, selon la légende, dans la rue de Belleville. Une diffusion pirate par radio sur 107.9 en direct invitait les curieux à entrer dans la ronde. Un projet imaginé par Sandra Gicquel et Emmanuelle Jolivet, étudiantes, mené dans le cadre d'un workshop avec le collectif de performeurs Ornicart. En savoir plus.

 


 

Voyage d'étude à Montpellier et participation à la ZAT Antigone

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Les 17 étudiants du Master Projets Culturels dans l'Espace Public effectuent un voyage d'étude à Montpellier du 10 au 15 novembre 2010 et participent à la ZAT - Zone Artistique Temporaire Antigone, du 11 au 14 novembre. 

 

Retrouvez le ZATing réalisé par les étudiants à l'occasion de cette 1ère ZAT sur le site zat.montpellier.fr 


Chapeau au pOlau

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Le pOlau a été récompensé par le Palmarès des Jeunes Urbanistes 2010. Le pOlau est un Pôle de recherche sur les arts et la ville, un laboratoire de projet. Installé dans l’agglomération de Tours et œuvrant à l’échelle nationale, le pOlau - pôle des arts urbains développe sa position interface de plate-forme de recherche et d’expérimentations entre acteurs artistiques, culturels et urbains. Ses activités articulent trois registres : le soutien à la création artistique urbaine ; la conception de programmations d'interprétation sensible de la ville ; la prospective urbaine (sessions de recherche, conseil et expertise). Le pOlau est l’initiative de Maud Le Floc’h, urbaniste-scénariste (Mission-Repérage(s), Compagnie Off, Rayons Frais). Son Président est Luc Gwiazdzinski, géographe. Ils sont tous les deux intervenants au sein du Master Projets Culturels dans l'Espace Public. Lors de cette remise du prix, aux côtés de Maud Le Floc'h et Luc Gwiazdzinski : Julien Nicolas, coordinateur du pOlau, ancien étudiant du Master, tout comme Zoe Déhays, qui était stagiaire au pOlau en 2010 et en est aujourd'hui une collaboratrice régulière. 
 

 

Le Master, "pépite de l'université"

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Le Nouvel Observateur du 31 mai 2007 a publié un palmarès de "diplômes gagnants", “pépites de l’université”, parmi lesquels figure le Master Projets Culturels dans l'Espace Public.

Extrait : "L'université, une voie sans issue ? Le cliché a la vie dure mais ne correspond en rien à la réalité. (...) Le Master Projets Culturels dans l'Espace Public > Atouts : La sélectivité du diplôme (350 dossiers pour 20 reçus), et l'accompagnement des élèves (préparation aux concours de la fonction publique territoriale, enseignement d'accompagnement à la création d'entreprise et d'association, atelier CV, rencontres de professionnels, etc...)" La suite, c'est ici. D'autres articles sur le Master Projets Culturels dans l'Espace Public : c'est . Pour des témoignages d'anciens étudiants.



L'AERES, Agence d'Evaluation de la Recherche et de l'Enseignement Supérieur (autorité administrative indépendante chargée de réaliser l’évaluation des établissements et des organismes, des unités de recherche, des formations et des diplômes de l’enseignement supérieur), a procédé en 2008 à une évaluation du Master Projets Culturels dans l'Espace Public, qui a obtenu l'évaluation positive la plus élevée (A+). Extraits des commentaires de l'AERES : "formation excellente", "organisation pédagogique dynamique", "ouverture sur l'extérieur remarquable", "attractivité importante", "formation très complète", "ancrage professionnel fort". Lire le rapport de l'AERES dans son intégralité. 

Vous proposez un stage ou un emploi ?

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LES STAGES  

Les étudiants effectuent un (ou plusieurs) stage(s) à temps plein à partir du mois d'avril (et, éventuellement, une à deux journées par semaine entre octobre et mars).

Dans le cadre de leurs stages, les étudiants du Master effectuent des missions de production, médiation, administration, gestion, des études de faisabilité, études de publics, recherche-action (1), audit, recherche de partenariats, accompagnement de programmation...  

(1) Cf. la mission réalisée avec la Scène conventionnée de Vitry-le-François : article de La Scèneblog de la recherche-action. 

Rappel du cadre réglementaire

Nous transmettre vos offres de stage. 


LES EMPLOIS

A l’issue de la formation de Master 2, les étudiants peuvent exercer des fonctions de
conception, production, administration ou médiation de projets artistiques et culturels, en particulier dans l’espace public, au sein de structures privées (associations, entreprises, coopératives…) ou publiques (État, collectivités territoriales, EPCI, EPCC), à des postes de chargé de mission (pour le 1% notamment), chargé de production, administrateur, DAC, responsable de projet, responsable d’équipement

Afin de favoriser concrètement l’insertion professionnelle des étudiants, le Master Projets Culturels dans l'Espace Public propose deux enseignements pratiques :

-Pour ceux qui souhaiteraient s’orienter vers la fonction publique : un cours intensif de préparation aux concours de la fonction publique territoriale (filières culturelle et administrative ; concours d’attaché territorial, attaché de conservation du patrimoine…) (voir aussi le site de préparation aux concours).

-Pour ceux qui voudraient créer leur propre structure, et par là même leur emploi : un enseignement d’accompagnement à la création d’entreprise et d’association (choix des statuts, modes de gestion, aides bancaires, fiscalité, présentation d’expériences…).

Informations sur l'insertion professionnelle des étudiants du Master.

Transmettez-nous votre demande ; nous la ferons suivre aux étudiants ou aux anciens étudiants du Master Projets Culturels dans l'Espace Public. 

La presse professionnelle parle du Master

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Stradda, n°3, janvier 2007


La Gazette des Communes, 3 avril 2006



La Scène, n°41, juin 2006


La Scène, n°41, juin 2006



Le Nouvel Observateur, 31 mai 2007



Libération, 28 mars 2008

Victoire / Le Soir (Bruxelles) août 2008
              La Lettre du cadre territorial.fr (mai 2008)

La Sc ne n 65 4fd9b88ff0fc3

Article consacré au Master PCEP (juin 2012)

 


Par ailleurs :

-La Scène n°65 (été 2012) a publié un article consacré aux Masters culture. Le Master PCEP y est largement cité, positivement. 

-La Scène n°59 (hiver 2010-2011) a publié une enquête consacrée aux Masters culture. Deux anciennes étudiantes du Master PCEP sont citées. 

-Le Nouvel Observateur du 31 mai 2007 a publié une liste de 450 "diplômes gagnants", “pépites de l’université”, parmi lesquels figure le Master Projets Culturels dans l'Espace Public. C'est ici

-Le Master a été invité lors d'un séminaire européen consacré aux formations art et espace public, à Barcelone les 8 et 9 février 2007. Un article (en espagnol) sur ce séminaire a été publié.

-"Resserrer les liens entre création, populations et territoires", tribune parue dans le magazine La Scène n°45, juin 2007.

-Pour télécharger l'article paru dans Stradda (voir plus haut) en version texte, ou en version originale.

-Le site Territorial.fr (François Deschamps, Lettre d'information du réseau culture) cite le Master Projets Culturels dans l'Espace Public parmi les six principaux Masters culturels.

-Le Master sur
la toile.




Les partenaires du Master

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Quelques-unes des structures avec lesquelles des projets ont été développés depuis 2005 :

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     Logo ZAT Montpellier ^

 
  
                              


Partenariats avec des institutions et structures professionnelles :

Le Master développe depuis 2005 un partenariat avec HorsLesMurs, Centre national de ressources pour les arts de la rue et les arts du cirque, et la magazine Stradda, notamment pour l'organisation du cycle art [espace] public.

Le Master était partenaire du WIP Villette, laboratoire permanent du dialogue art/société, pour l'organisation de trois rencontres-débats dans le cadre du cycle art [espace] public 2010. 

Le Ministère de la culture et de la communication a soutenu le Master pour l'organisation du cycle art espace public, dans le cadre du Temps des Arts de la Rue en 2007 et 2008.

Le Master est soutenu par des associations, institutions publiques, entreprises, collectivités territoriales, via notamment la taxe d'apprentissage, l'accueil d'étudiants dans le cadre de stages, de missions ou de voyages d'étude, la participation aux rencontres-débats ou l'intervention de professionnels dans le cadre de la formation.

Partenariats sur le plan de la recherche :

Le Master est adossé au LETA, Laboratoire d'Esthétique Théorique et Appliquée, EA 2478 / CRICC, Centre de Recherche Images et Cognitions. 

Un projet a été développé avec le réseau Arts de Ville UMR CNRS 5600 "Environnement, Ville, Société" dirigé par Philippe Chaudoir, Maître de conférences, Institut d'Urbanisme de Lyon, enseignant au sein du Master Projets Culturels dans l'Espace Public. 
 
Partenariats avec les associations étudiantes : 

Les étudiants du Master, anciens et actuels, se sont regroupés au sein de l'association Objet(s) Public(s)
            
Structures ayant accueilli des étudiants du Master en stage : 

Lille 3000 Association InfiltraSons CITI, Centre International pour le Théâtre Itinérant La Villette - EPPGHV L'Usine, lieu conventionné dédié aux arts de la rue Le Prisme. Centre de développement artistique de Saint-Quentin-en-Yvelines Les Bohèmes, association de théâtre Melkior Théâtre - La Gare Mondiale Les Francofolies Théâtre Firmin Gémier Eva Albarran, Agence de production artistique Association Kosmopolite Festival de Biarritz, cinémas et cultures d'Amérique Latine Art Public Contemporain Association Lille 2006-2008 Scènes de cirque Académie Festivals des Arcs Association Artskool Association GITHEC Association Parti poétique Le Fourneau. Centre national des arts de la rue New Dance Alliance / Karen Bernard / Performance Space 122 Centre Culturel Espagnol de Montevideo (Uruguay) Festival Cergy, soit ! Ville de Cergy Karwan, pôle de développement et de diffusion des arts de la rue et des arts du cirque. FNAC - siège national Art Public Contemporain L'Usine, scène conventionnée des arts de la rue Cheptel Aleikoum Mission Départementale de la Culture de l’Aveyron Fondation de France La Muse en circuit, Centre national de création musicale Collectif 12 / Friche A Malraux Cultures du cœur National Le Lieu Unique dans le cadre de l'événement Estuaire 2007 Crear vale la pena Association Les Escales de Saint-Nazaire Market Place Association Le Parti Poétique Culture Commune, scène nationale du bassin minier du Pas-de-Calais Le CENTQUATRE établissement culturel de la ville de Paris Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis Association Le Nombril du Monde Asbl Zinneke Projet TRANS305 , programme d'accompagnement artistique et culturel du chantier de la ZAC du Plateau Centre Culturel d'Espagne à Mexico Agence Le Hub NPE Communauté d'Aggomération du Val d'Orge (EPCI) Culture Factory Polymer Direction des Affaires Culturelles, Département de l'Art dans la Ville (DAV) Ville de Paris Association le Parti Poétique - La "Banque du miel" Compagnie ilotopie - CNAR le Citron jaune - festival les Envies Rhônement Culturesfrance au pôle danse Le Séchoir, Scène conventionnée de Saint Leu Saint-Denis Commission européenne, Direction Générale Education et Culture, Direction de la Culture, de la Communication et du Multilinguisme, Unité Communication et Valorisation La Ferme du Buisson / Scène Nationale de Marne la Vallée Cie T.Public Le Hub Agence CirQ'ônflex et Cie Toron Blues Centre National de la Danse Contemporaine Arcane CENTQUATRE La Ferme du Buisson, Scène Nationale de Marne-La-Vallée pOlau, pôle des arts urbains Estuaire 2009 (Lieu Unique Nantes)  Centre International d'art et du paysage de l'île de Vasivière... 
 


Vous êtes : artiste, opérateur culturel, élu, cadre dans une collectivité territoriale, directeur artistique ou administrateur d'une compagnie, galeriste, programmateur... ; vous souhaiteriez développer un partenariat avec nous ? N'hésitez pas à nous contacter, notamment pour :

-proposer aux étudiants des stages / missions > conception, mise en œuvre et développement de projet, étude de faisabilité, recherche-action, production d'événement, audit, recherche de partenariat, accompagnement de programmation, conception et mise en œuvre d'actions de médiation... Les étudiants peuvent être libres une à deux journées par semaine entre octobre et mars, puis à temps plein à partir du mois d'avril, dans le cadre d'un stage ou d'un contrat salarié. Nous contacter.

-participer à nos rencontres-débats publiques > inscrivez-vous à notre lettre d'information (page d'accueil du site).

-nous aider à développer notre formation > en affectant au Master toute ou partie de votre Taxe d'Apprentissage > informations et marche à suivre.







Cycle art [espace] public 2011

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xProgramme art espace public 2011 - copie

CYCLE DE RENCONTRES-DÉBATS ET D'EXPÉRIENCES SINGULIÈRES PROPOSÉ PAR LE MASTER PROJETS CULTURELS DANS L’ESPACE PUBLIC - UNIVERSITÉ PARIS 1 PANTHÉON-SORBONNE - EN PARTENARIAT AVEC STRADDA, MAGAZINE DE LA CRÉATION HORS LES MURS - 5ÈME SAISON - TOUS LES VENDREDIS DU 18 FÉVRIER AU 1ER AVRIL 2011, 19H-21H À LA SORBONNE (AMPHI DE GESTION), 1 RUE VICTOR COUSIN, PARIS 5ÈME - ENTRÉE LIBRE APRÈS INSCRIPTION (VOIR PLUS LOIN). TÉLÉCHARGER LE PROGRAMME EN PDF


Artiviste, que fais-tu ? 

En quoi l'art en espace public est-il politique ? En 2010, les treize rencontres que nous avons organisées, et les propositions artistiques qui les accompagnaient, nous ont permis de valider une hypothèse : le caractère politique de l'art en espace public tient souvent moins aux contenus portés dans l'espace public par les artistes qu'aux dispositifs d'espace public qu'ils inventent, et notamment à leur capacité à susciter de nouveaux "partages du sensible", bousculant l'ordre des évidences et les configurations constitutives de notre monde commun. 

La 5ème saison du cycle art [espace] public sera l'occasion de poursuivre et de préciser cette analyse. Les artivistes (artistes-activistes) invités cette année inventent ici et là, dans l'espace public, des formes d'action souvent étonnantes et détonnantes, toujours vivement politiques. En compagnie de Stéphanie Lemoine et Samira Ouardi, avec qui nous avons conçu ces rencontres, nous leur demanderons quelles sont leurs pratiques et quels sont leurs effets.  

Pascal Le Brun-Cordier 
Professeur associé, directeur du Master 
Projets Culturels dans l'Espace Public


« L’artivisme est l’art d’artistes activistes. Il est parfois l’art sans artiste mais avec des militants. Art engagé et engageant, il cherche à nous mobiliser, à faire prendre position, il propose des outils d’action et de transformation. De même que le queer pose l'existence d'un troisième genre par delà féminin et masculin, de même l'artivisme suggère qu'il existe un troisième terme entre esthétique et politique. » 

 
Stéphanie Lemoine et Samira Ouardi, 
Artivisme. Art, action politique et résistances culturelles, Éditions Alternatives, 2010. 

 

Les rencontres-débats sont préparées par Sylvie Alves Pereira, Coline Berlaud, Cécile Bourgade, Marion Clerc, Pauline Cornec, Aurore de Saint Fraud, Etienne Delprat, Caroline Gauthier, Eun-Yeob Jeong, Martin Julhès, Bérangère Magaud, Frédérique Monblanc, Clément Omnes, Marine Pugin, Clara Stein, Camille Talva, Alice Tucker, étudiant.e.s au sein du Master Projets Culturels dans l’Espace Public en 2010/2011. Direction du cycle : Pascal Le Brun-Cordier, avec Samira Ouardi et Stéphanie Lemoine

 
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1. QUAND L'ART RENCONTRE L'ACTIVISME : 
GÉNÉALOGIE ET CARTOGRAPHIE DE L'ARTIVISME 

18/2/2011 

À l’opposé d’un art de propagande ou de dénonciation, l’artivisme invente et expérimente des formes de résistance et d’action qui parient sur le pouvoir de la créativité, de l’imagination, de l’humour,  du détournement ou du jeu. Enfant des avant-gardes, il hérite aussi de la contre-culture, des cultures populaires et des répertoires protestataires festifs qui nourrissent la contestation depuis des siècles. Au cœur des sociétés occidentales contemporaines, l’artivisme se déploie en une galaxie où se croisent l’insurrection poétique de John Jordan et du Laboratoire d’Imagination Insurrectionnelle, les performances de Révérend Billy ou Steven Cohen, les canulars médiatiques de Yes Men, les collages planétaires de JR et les flibustiers de la guérilla pâtissière, les détournements de Banksy et du Billboard Liberation Front, les Zones d’Autonomie Temporaire des Space hijackers et de Burning Man et les charges des « hacktivistes » contre les industries culturelles... Une exploration proposée par Stéphanie Lemoine et Samira Ouardi, auteures d’Artivisme. Art, action politique et résistances culturelles (éditions Alternatives, 2010), en présence notamment d’Emmanuelle Dreyfus, journaliste (Stradda). 

http://www.artivisme.tv


Inscrivez-vous ! 

 

 

 

Des banlieues parisiennes aux favelas brésiliennes, des bidonvilles du Kenya aux rues de Delhi, JR colle dans l’espace public des portraits géants d’anonymes. En quelques mois, il s’est imposé dans les média comme la figure de l’artiste « engagé et engageant ». Son travail a récemment été récompensé par le prestigieux Ted Prize. Fruits de projets collaboratifs, ses collages spectaculaires et poétiques ré-enchantent les murs, élargissent l’imaginaire collectif, produisent une critique en acte des images médiatiques. Le film Women are heroes, sorti en janvier 2011, transporte ces images des murs à l'écran. Comment ce changement de support et de contexte transforme-t-il son projet ? Quel sens donner à l’héroïsation des femmes qu’il nous fait découvrir ? JR est-il féministe ? Autant de questions autour desquelles il est invité à échanger, après nous avoir ouvert les portes de sa fabrique d’images.

http://jr-art.net 

 

Inscrivez-vous ! 

 

 

PROGRAMME COMPLET EN PDF

 

 

 

Les rencontres-débats sont préparées par Coline Berlaud, Cécile Bourgade, Sylvie Alves Pereira, Marion Clerc, Pauline Cornec, Aurore de Saint Fraud, Etienne Delprat, Caroline Gauthier, Eun-Yeob Jeong, Martin Julhès, Bérangère Magaud, Frédérique Monblanc, Clément Omnes, Marine Pugin, Clara Stein, Camille Talva, Alice Tucker, étudiant-e-s au sein du Master Projets Culturels dans l’Espace  Public en 2010/2011. Direction du cycle : Pascal Le Brun-Cordier,  avec Samira Ouardi et Stéphanie Lemoine.

 

Cycle organisé en partenariat avec Stradda, magazine de la création hors les murs. 

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Archives des précédents cycles : 2007200820092010

Cycle organisé dans le cadre du programme Arts & espaces publics du CRICC (LETA). 

 

Revue de presse : 

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Le Monde - Bonnes Nouvelles  

L'art et la culture en ville 

10 000 photographies à coller dans l’espace public : un projet des étudiants du Master PCEP !

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Dans le cadre du festival Printemps des Rues

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/////  LeGroupeDesColleursDeSignalétiques /////

  
Collage urbain et collectif

  
10 000 photographies à coller dans l’espace public 

  
 les 27 & 28 avril 2012 / Paris 10ème.  

   
  

 
Collage dansant - Vendredi  27 avril 2012, à partir de 22h, Pointe Poulmarch, Paris Xème.
   
Collage général - Samedi 28 avril, à partir de 15h, autour de Pointe Poulmarch, Paris Xème.

 
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///// Infos pratiques 

> Date & Horaires : vendredi 27  à partir de 22h / samedi 28 avril 2012 de 15h à 18h.

> Lieu : la pointe Poulmarch (croisement rue Jean Poulmarch et quai de Valmy) et ses environs, 10ème arrondissement de Paris.

> Accès : Métro Château d’eau (Ligne 4), Jacques Bonsergent (Ligne 5), République (Lignes 3, 5, 8, 9, 11) et Goncourt (Ligne 11), Bus.

> Tarif : gratuit.

> Avant le 27 avril, retrouvez la collection sur 
 #LGCS
///// Contacts

Camille Lévêque / Arthur Mayadoux
@ : colleursdesignalétiques@yahoo.com
Tel : 06 77 49 17 73 / 06 87 43 02 82

 
Un projet proposé par Camille Lévêque, Arthur Mayadoux, Lucile Ribeaudeau, Pauline Séjourné et la ktha compagnie.
Réalisé avec les photographies du GroupeDesCollectionneursDeSignalétiques
 
Une coproduction Objet(s) Public(s) / ktha compagnie accueillie par le festival Printemps des Rues
Avec le soutien du FSDIE (Paris 1 Panthéon-Sorbonne), du CROUS et du Master 2 Projets culturels dans l’espace public.


Le Master et l'association Objet(s) Public(s) présents au festival Chalon dans la rue

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cdlrlogochalonrue__054847300_2015_29122010-copie-1.pngRetrouvez le Master Projets Culturels dans l’Espace Public et l'association Objet(s) Public(s) avec la FAI AR - Formation Avancée et Itinérante des Arts de la Rue, l’association Regards et Mouvement, l'Hostellerie de l’Ance Pontempeyrat, l’AFDAS, Pôle emploi (sous réserve) et d’autres structuresau festival Chalon dans la rue à Chalon sur Saône vendredi 20 juillet 2012 de 12h30 à 14h30 au Verger. Entrée libre !

 


art [espace] public

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POUR ACCÉDER AU PROGRAMME DE L'EDITION 2014, C'EST ICI

 

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7ème cycle de rencontre-débats art [espace] public 

L'art, producteur d'urbanité ? 
Ce qui se joue à Paris et dans sa métropole

Ici et là, des artistes créent dans la ville et avec elle. Leurs projets contribuent à la rendre plus singulière et vivante, à en révéler des dimensions méconnues, à en proposer d'autres images et d'autres usages. Ils ont acquis une place certaine dans les projets de territoire à Paris et dans les villes de sa périphérie. À l'heure où s'invente la métropole parisienne, quels chemins de traverse proposent-ils pour enrichir les lieux et les liens qui composent l'espace oublic ? Comment sont-ils conçus, mis en œuvre et accompagnés ? Quelle urbanité créent-ils précisément ? Le 7ème cycle art [espace] public vous invite à penser collectivement ce qui se joue, à Paris et alentours, quand l'art est partie prenante de la fabrique de la Cité.

Rencontres ouvertes à toutes et à tous, chaque vendredi de 19h à 21h du 1er mars au 5 avril 2013. Cycle proposé par les étudiants du Master Projets culturels dans l'espace public de l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et l'association Objet(s) Public(s), sous la direction de Samira Ouardi et Pascal Le Brun-Cordier. 

Art et urbanisme : une rencontre en invention.
1er mars 2013

Quelle ville révèlent les arts urbains ? 
8 mars 2013

Interstices, lieux en attente, délaissés urbains : expérimenter la ville oubliée
15 mars 2013

Quelle place pour la fête dans la ville ? 
22 mars 2013

Création numérique en espace public : quelles transformations de l'urbanité ? 
29 mars 2013 

Cultivez la ville : vers une autre nature urbaine.
5 avril 2013 

 

Téléchargez le programme complet avec les noms des invités et les lieux. 

 


 

Art et urbanisme : une rencontre en invention
Vendredi 1er mars 2013 19h-21h à la Sorbonne, Amphi Richelieu 
17, rue de la Sorbonne, 75005 Paris. Métro Cluny la Sorbonne

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Crédit photographique : Sylvain Duffard, Projet Trans305 - ZAC du Plateau à Ivry-sur-Seine.

 

Alors que l’art a longtemps fait figure de simple « animateur » de l’espace public, de nombreux artistes, en lien avec des urbanistes et des architectes, cherchent à en déployer toutes les potentialités dans le cadre de la fabrique concrète de la ville. Souvent liées à des opérations de requalification urbaine, ces démarches convoquent une multiplicité d’acteurs et interrogent par-là les possibles dialogues entre acteurs culturels et de l’aménagement. 

Quelle place trouve l’art dans ce dialogue ? Quelles sont les attentes à son égard ? Quelles formes concrètes prend ce travail interdisciplinaire ? Quel est le visage de l’urbain issu de ces expériences ? 


En présence de :

-Stefan Shankland, artiste plasticien, coordinateur du projet Trans305 à Ivry-sur-Seine, premier prototype de la démarche Haute Qualité Artistique et Culturelle. 
www.trans305.org

-Gaétane Lamarche-Vadel, a enseigné la philosophie et théorie des arts à l’ENSA Dijon.

-Loïc Julienne, architecte associé à l’agence Construire, est spécialisé dans la transformation de friches industrielles en lieux de vie et de culture.

 

Rencontre-débat organisé par Victoire Bech, Antoine Estève et Hélène Toumanoff. 



 

Quelle ville révèlent les arts urbains ?
Vendredi 8 mars 2013 19h-21h (accueil dès 18h) à l’espace bar du Cirque Électrique
La Dalle aux chapiteaux, Place du Maquis du Vercors, 75020 Paris. Métro Porte des Lilas

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Crédits photographiques : EVOL,  Image issue du site : www.suchablog.com/plus-belles-photos-street-art-best-of-2012/street-art-best-of-2012_012

 

La ville est par essence inconstante. Sans cesse elle croît, mute, socialement, politiquement, concrètement. Actrices de ces transformations, des formes de création plastiques se déploient dans ses rues. Progénitures du rapport entre un artiste et sa ville, les arts urbains habitent, vivent, éprouvent et dialoguent avec l’espace public selon des modalités de plus en plus diverses. Light painting, graffiti sonore, laser tag, seed-bombing, peintures/sculptures à la mousse, au tricot ou à la fourrure : des performances urbaines aux formes inédites viennent bouleverser et remotiver selon d’autres règles les codes des arts urbains. 

 

Ces jeux esthétiques sont éminemment politiques, on le sent. Mais jusqu’où ? Que nous disent les métamorphoses des arts urbains des transformations politiques de la Ville ? Qu’en est-il à Paris en particulier ?

 

En présence de :

-Gilbert Petit, artiste  
-Samantha Longhi, rédactrice en chef de Graffiti Art Magazine
www.graffitiartmagazine.com
-Levalet , jeune artiste de 24,  Depuis un an, il installe ses collages dans les rues de Paris.  
levalet.overblog.com 

 

Rencontre-débat organisé par Carmen Camboulas, Pauline Charrière et Camille Grant.



 

Interstices, lieux en attente, délaissés urbains : expérimenter la ville oubliée

Vendredi 15 mars 2013, 19h-21h À l'Académie Fratellini
rue des Cheminots, 93210 Saint-Denis La Plaine, RER D arrêt Stade de France

 

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Crédit photographique : Juliette Bibasse, les Petites Urbanités Libres dans le 13ème arrondissement.

 

La ville fourmille de lieux oubliés des citadins. Espaces délaissés, interstices, lieux en attente qui échappent au planificateur. Ces creux inclassables deviennent parfois des lieux d’expérimentations où artistes, urbanistes et citoyens cherchent à réinventer les usages de la ville. 

Pratiques poétiques de l’espace urbain ou manières de rendre visible l’invisible, ces démarches imaginent la ville potentielle à partir du potentiel de la ville. C’est le cas notamment du projet des Petites Urbanités Libres (P.U.L.) mené par la ktha compagnie. En 2011, la ktha proposait à des artistes de cartographier puis d’investir le temps d’une journée ces accrocs dans le tissu urbain. En 2013, c’est avec le Master Projets culturels dans l’espace public et des étudiants d’architecture de la Villette que le projet s’est poursuivi. 

Jusqu’où les P.U.L. transforment-elles la lecture de la ville ? Comment le fait de désigner des interstices invite-t-il à leur réappropriation ? Pour y réfléchir, les P.U.L. seront présentées et mises en regard avec d’autres projets d’investissement des creux de l’espace public.

 

En présence de :

- des participants aux P.U.L. 2013.
www.pul.ktha.org

-Jean Attali, philosophe, enseignant-chercheur architecture et urbanisme.

 

Une balade urbaine précèdera la rencontre : RDV 17h30 Métro St-Denis-Porte de Paris - ligne 13
Départ avec les moutons de l'association Clinamen Direction l'Académie Fratellini (arrivée prévue 18h30-45)
Réservation en ligne : http://goo.gl/huv3K

 

Rencontre-débat organisé par Léonor Bolac, Nina Le Roux et Mathilde Wahl.

 


 

Quelle place pour la fête dans la ville ? 
Vendredi 22 mars 2013, 19h-21h à La Parole errante
9, rue François Debergue, 93100 Montreuil, Croix de Chavaux

 

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Crédit photographique : Laura Frangi

 

« J’imaginerai un art supérieur à l’art des œuvres d’art : celui de l’invention des fêtes » -Nietzsche.

Moment de réjouissance et parfois de résistance, la fête profite à chacun ou presque. Qu’elle soit à l’initiative des citoyens ou des pouvoirs publics, elle est une source potentielle d’urbanité.  

Mais qui a le pouvoir de l’inventer ? Comment surgit-elle ? À Paris, dont l’histoire est traversée de fêtes, quelle est sa place aujourd’hui ? 

À une époque où la « production » de la fête doit faire face à de nombreuses conditions (réglementation, respect des riverains...), à l’heure où le marketing territorial estompe la frontière entre fête et événementiel, quelle marge de manœuvre reste-t-il aux citoyens ?

 

En présence de :

-Basile Pachkoff, initiateur du Carnaval de Paris 

-Emmanuelle Lallement, anthropologue et maîtresse de conférences au Celsa.

  

Rencontre-débat organisée par Élodie Gaspard et Manel Pons

 


 

LE BAL À 2 BALLES
Vendredi 22 mars 2013, 21h-3h à La Parole errante

9, rue François Debergue, 93100 Montreuil, Croix de Chavaux

 

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Suite à la conférence sur la fête, nous organisons un grand bal à 2 balles pleins de surprises et de folies!
(entrée 2 euros) Venez nombreux! Ça va guincher!

 

Foire aux crêpes, folies en tout genres, baloche masqué de l'extrême, ohé oh, train fantôme...
Resté branché ça va teaser: http://bala2balles.tumblr.com/Facebook: https://www.facebook.com/events/135252449979091/ 

 

Avec :  Les lapins superstars (fanfare déjantée), The Gribitch Brothers & Sisters (Gypsy Punk) DJ Soumnakai (balkan mix), DJ Out of jetlag (electro swing) 

 


 

Création numérique en espace public : quelles transformations de l’urbanité ?
Vendredi 29 mars 2013, 19h30-21h30 à la Gaîté Lyrique
3bis, rue Papin, 75003 Paris Métro Réaumur-Sébastopol

 

ART-NUMERIQUE

Crédit photographique : Olivier Ratsi, Terrasses de l’Agora et Pasha v1, projet WYSI*not*WYG - Anarchitecture à Evry par Olivier Ratsi - Théâtre de l’Agora - Scène nationale d’Evry et de l’Essonne.

 

« Ce qui définit la création numérique c’est qu’elle est un art polymorphe. On ne définit pas l’art par le
médium mais par les pratiques. »
-Dominique Roland,
directeur du Centre des Arts d’Enghien-les-Bains et du festival Bains Numériques.

À la croisée de l’art et des nouvelles technologies, la création numérique se confronte aujourd’hui à la ville. Elle dialogue avec le territoire et y propose de nouveaux modes de représentation, génère une relecture de l’espace, de nouvelles perceptions et des pratiques urbaines inédites. 

Via des outils devenus quotidiens (smartphones, capteurs, écrans tactiles…) les arts numériques en espace public font le lien entre la rue et les espaces publics virtuels, engendrant de nouveaux environnements, de nouveaux usages, de nouvelles relations artiste / spectateur, etc. 

Cette conférence-débat explorera les transformations de l’urbanité pouvant être générées par la création numérique.

 

En présence de :

- Nicolas Rosette, chargé de la programmation des spectacles et expositions arts numériques, Théâtre de l’Agora, scène nationale d’Evry et de l’Essonne et directeur artistique de la biennale « arts-technologies-société », Siana, l’imaginaire des technologies. Il évoquera également le travail de l’artiste Olivier Ratsi dans le cadre de sa résidence à Évry.
www.siana-festival.com / www.fabfest.fr / www.omnsh.org / www.wysi-not-wyg.com

 

-Stéfane Perraud, artiste plasticien, qui nous présentera son œuvre FLUX, commande de la SNCF produite par Digitalarti et présentée jusqu’au 31 mars 2013 à la Gare de l’Est.
www.stefane-perraud.fr

 

-Julien Taïb, conseiller arts numériques chez Arcadi, coordinateur du festival des arts numériques Némo.
www.arcadi.fr/nemo

 

En partenariat avec la Gaîté Lyrique
Rencontre-débat organisée par Juliette Bibasse, Camille Blosse et Bianca Farrugia.

 


 

Cultiver la ville : vers une autre nature urbaine 
Vendredi 5 avril 2013, de 19h à 21h, Salle des fêtes, Mairie de Montreuil

 

NATURE-EN-VILLE

Photo 1: Nina Le Roux, les moutons de l’association CLINAMEN à Saint Denis/ Photo 2: Sarah Harper, parcelle 343 des Murs à pêches à Montreuil.

 

La nature est au cœur des transformations contemporaines de la ville : friches industrielles, jardins partagés, parcs et pelouses interdites, viennent interroger les circulations et les partages qui tissent la vie de l’espace public. Cela n’a pas échappé à nombre d’artistes qui font de ces espaces leurs terrains d’expériences sensibles et politiques et leurs laboratoires du vivant et du social. À la Semeuse d’ Aubervilliers, et à la parcelle 343 des Murs à pêches, une conviction est partagée : plus que l’avenir esthétique de la ville, c’est le futur économique et social de cette dernière qui se joue dans la place qu’elle fera à la nature. 

Comment les artistes réinventent-ils les usages de ces espaces urbains en jachère ? Quelle utopie de la ville et du social travaille ces projets ? Comment, en regard, les pouvoirs publics pensent-ils la gestion de la biodiversité urbaine ? Bref, comment ces
réflexions fabriquent-elles une autre urbanité ? 

Au programme : reportages et créations sonores : une promenade avec un joyeux troupeau, un zapping vert musical et des pousses sonores ...


En présence de :

-Sarah Harper, coordinatrice du projet de la parcelle 343 à Montreuil
www.friches.fr

 

-Margaux Vigne et Guilain Roussel, coordinateur et ex coordinateur du projet la Semeuse aux laboratoires d’Aubervillers
www.leslaboratoires.org


-Joslene Reekers, Conseillère Municipale Déléguée à l’Environnement et la Nature en Ville à Montreuil

 

Au programme également, une visite de la Parcelle 343 à l'intérieur des Murs à pêches, menée par Sarah Harper à 16h30. Jauge limitée à 15 personnes. Réservation obligatoire auprès de Diana Portilla en précisant vos noms/ prénoms et nombre de participants à nana_portilla@hotmail.com ou au 06 47 78 95 36. Le lieu de rdv vous sera précisé par mail après réservation.


Rencontre-débat organisée par Adeline Debatisse, Loyce Hébert et Diana Portilla.

 


 

Le programme 2012 : 

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Photo : © Kristian Cvecek / Barcroft.

art [espace] public est un un cycle de rencontres-débats proposé par le master projets culturels dans l’espace public, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, en partenariat avec stradda, magazine de la création hors les murs

 

6ème saison 

Les nouvelles géographies culturelles

Dix projets innovants liant art, culture et territoire

 

Ici et là, ils rebattent les cartes de l'action artistique, inventent d'autres « partages du sensible » et réoxygènent les politiques culturelles. La 6ème édition du cycle art [espace] public explore les nouvelles géographies culturelles en compagnie d’artistes et d’opérateurs culturels, en janvier, février et mars 2012. 

Avec Olivier Comte, les Souffleurs commandos poétiques (la Folle Tentative d’Aubervilliers), Cyril Jaubert, cie Opéra Pagaï (la Maison sur l’eau), Proserpine, l’Apprentie cie (7 clowns, 7 jours, 7 familles, 7 villages), Fred Sancère, Derrière Le Hublot, Danielle Bellini, Champigny sur Marne… Focus sur les théâtres de l’expérience, les fabriques de l’urbanité, les logiques d’infusion territoriale, les artivistes… Cycle dirigé par Pascal Le Brun-Cordier, organisé avec les étudiants du master projets culturels dans l’espace public. 

Première rencontre dans le cadre des Biennales Internationales du Spectacles à Nantes le 18 janvier 2012 de 14h30 à 17h : www.bis2012.com Puis, tous les vendredis à Paris à la Sorbonne, de 19h à 21h, jusqu’au 16 mars. Programme détaillé disponible mi-janvier sur ce site : www.art-espace-public.c.la

 

En écho à ces rencontres, à lire dans Stradda n°23 le dossier Nouvelles géographies culturelles : www.stradda.fr

 


1. LES NOUVELLES GÉOGRAPHIES CULTURELLES 

Rencontre introductive, à Nantes, Cité des Congrès, dans le cadre de la BIS - Biennale Internationale du Spectacle
Mercredi 18 janvier 2012, 14h30/17h. 

Au cours de cette rencontre, présentation et analyse de 4 démarches : 

1-UTOPIES DE PROXIMITÉ. Focus sur "La maison sur l'eau", projet de la compagnie Opéra Pagaï (Bordeaux), présenté sur la Garonne, à Bordeaux, en novembre 2011 dans le cadre d'Evento. Avec Cyril Jaubert, directeur artistique de la compagnie. 

En savoir plus :  www.icicestailleurs.blogspot.com
www.operapagai.com 

2-FABRIQUES DE LIENS. Focus sur le projet "7 jours, 7 clowns, 7 familles", de l'Apprentie Compagnie (Marseille), avec Caroline Obin (Proserpine, clown publique. 

En savoir plus : www.proserpine.fr

3-PERSPECTIVES GÉO-POÉTIQUES. Focus sur La folle tentative d'Aubervilliers : le conseil municipal extraordinaire, les tempêtes de printemps, les levers de rideaux, rue silencieuse... et Forêt sensible. Avec Olivier Comte, directeur artistique des Souffleurs, commando poétique. 

En savoir plus : www.les-souffleurs.fr 

4-INFUSIONS ARTISTIQUES. Focus sur La trilogie gastronome (Cie Ouï dire), avec Fred Sancère, directeur de Derrière Le Hublot (Capdenac). 

En savoir plus : www.derriere-le-hublot.fr

En présence de Danielle Bellini, directrice des affaires culturelles de Champigny-sur-Marne, doctorante en sociologie à Paris 7 Diderot. 

Rencontre présentée par Pascal Le Brun-Cordier, directeur du Master Projets culturels dans l'espace public. 

6ème cycle art [espace] public, "Les nouvelles géographies culturelles".  

 



2. FORÊT SENSIBLE 

En préalable à la rencontre organisée le 3 février 2012 avec les Souffleurs commandos poétiques, nous vous proposons de découvrir Forêt sensible. 

"Forêt sensible est un dispositif onirique tirant de l'imaginaire occidental de la forêt sa puissance hypnotique. L'ambition de ce projet est de plonger chaque promeneur dans sa propre forêt intérieure, comme à l'intérieur d'un rêve, du déroulement de son rêve." 

Forêt sensible à Coulommiers / Intérieur nuit. Vendredi 27 janvier 2012, promenade libre entre 20h30 et 23h00 à la Sucrerie, 77 Rue du Général Leclerc, 77120 Coulommiers. Entrée libre et gratuite. Un échange sur cette expérience sera proposé lors de la rencontre du 3 février à La Sorbonne. 

Départ de Paris : 18h59 GARE DE L'EST. Prendre le train CITU en Direction de COULOMMIERS 
Arrivée : 20h à la GARE DE COULOMMIERS. Marche à pied : 13 min jusqu'à la sucrerie, arrivé à 20h13. 

1. Prendre la direction ouest sur Rue de la Gare vers Rue Davene 
2. Tourner légèrement à droite pour continuer sur Rue de la Gare 
3. Au rond-point, prendre la 1ère sortie sur Av. Léon Blum/D934 
4. Prendre à gauche sur Rue du Général Leclerc/D934
Votre destination se trouvera sur la droite

Pendant le trajet Paris > Coulommiers, une expérience de mise en condition vous sera proposée. Rendez-vous dans le premier wagon du train avec un livre de poésie et des boules Quiès. Le protocole poétique vous sera expliqué sur place ! Projet "En tendre" réalisé par Camille Simon, Lisa Moneret, Camille Michel, Sylvain Hardy, Laurie Castel, Arthur Mayadoux. 

Retours possibles > Départ : 21h36 GARE DE COULOMMIERS. Prendre le train PITU, direction PARIS EST. Arrivée : 22h42 GARE DE L'EST. 

Dernier train > Départ : 22h36 De l'arrêt GARE DE COULOMMIERS. Prendre le train PITU, direction PARIS EST. Arrivée : 23h42 GARE DE L'EST. 

En savoir plus : www.les-souffleurs.fr 

6ème cycle art [espace] public, "Les nouvelles géographies culturelles".  


3. PERSPECTIVES GÉO-POÉTIQUES. 

Focus sur la folle tentative d'Aubervilliers : le conseil municipal extraordinaire, les tempêtes de printemps, les levers de rideaux, rue silencieuse... et Forêt sensible. Présentation et analyse avec Olivier Comte, directeur artistique des Souffleurs, commando poétique. 

Rencontre préparée par Marion Marchand, Lisa Moneret, Camille Michel et Laurie Castel. 

En savoir plus : www.les-souffleurs.fr 

6ème cycle art [espace] public, "Les nouvelles géographies culturelles", vendredi 3 février 2012, 19h/21h, à la Sorbonne, 1 rue Victor Cousin (place de la Sorbonne), amphi de gestion. Accueil dès 18h30. Entrée libre dans la limite des places disponibles. 

 
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4. UTOPIES DE PROXIMITÉ. 

Focus sur "La maison sur l'eau", projet de la compagnie Opéra Pagaï (Bordeaux), présenté sur la Garonne, à Bordeaux, en novembre 2011 dans le cadre d'Evento et sur plusieurs "Entreprises de détournement" d'Opéra Pagaï. Présentation et analyse avec Cyril Jaubert, directeur artistique de la compagnie. 

Rencontre préparée par Renaud Cousin, Camille Simon, Sylvain Hardy, Emilie Métris, Lisa Monneret. 

En savoir plus :  www.icicestailleurs.blogspot.com
www.operapagai.com 

6ème cycle art [espace] public, "Les nouvelles géographies culturelles", vendredi 10 février 2012, 19h/21h, à la Sorbonne, 1 rue Victor Cousin (place de la Sorbonne), amphi de gestion. Accueil dès 18h30. Entrée libre dans la limite des places disponibles. 

 



5. LES THÉÂTRES DOCUMENTAIRES  
 
Comment et pourquoi le témoignage rencontre-t-il le théâtre ? Comment et en quoi la place du spectateur est mise en question et réinventée ? Quels sont les enjeux de telles représentations pour la cité ? Exploration illustrée et commentée des formes contemporaines du théâtre documentaire, avec : 
-Jack Souvant (collectif Bonheur Intérieur Brut), créateur de Ticket, expérience immersive dans la clandestinité, documentaire-fiction sur l'immigration clandestine, "un théâtre d'urgence qui nous confronte à l'expérience physique du voyage, du noir, de la peur, et de l'espoir d'une vie meilleure". http://vimeo.com/14673620 
-Philippe Mourrat, directeur de la Maison des Métallos, un lieu « qui valorise des questions de fond traversant la société contemporaine », et notamment des créations partagées et des spectacles de théâtre documentaire.  

Au cours de cette rencontre-débat, il sera aussi question des créations de Stefan Kaegi et Rimini Protokoll, du GdRA, du Groupe Berlin, de la compagnie HVDZ, de Lina Saneh et Rabih Mroué... 

Rencontre-débat préparée par Sylvain Hardy et Arthur Mayadoux, avec la participation de Danielle Bellini, directrice des affaires culturelles de Champigny-sur-Marne, dans le cadre du 6ème cycle art [espace] public, "Les nouvelles géographies culturelles", dirigé par Pascal Le Brun-Cordier. Organisé par le Master professionnel Projets culturels dans l'espace public (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, UFR 04 Arts plastiques et sciences de l'art), en partenariat avec Stradda, magazine de la création hors les murs. 

Vendredi 17 février 2012 à la Sorbonne, amphi de gestion, 1 rue Victor Cousin (place de la Sorbonne), de 19h à 21h, accueil dès 18h30). Précisions : http://www.art-espace-public.c.la 

 

6. ESPACES PUBLICS POST-RÉVOLUTIONNAIRES. FOCUS SUR TUNIS. 


Comment l'espace public tunisien s'est-il transformé depuis la Révolution ? Comment les artistes y interviennent-ils ? Avec Tahar Chikhaoui, critique de cinéma, universitaire (Université de Tunis, La Manouba), Moufida Fedhila, artiste, Selma Ouissi, chorégraphe, Dream City (manifestation artistique dans l'espace public, Tunis), Jean-Sébastien Steil, accompagnateur de projets artistiques. 

Rencontre préparée par Pauline Séjourné, Marion Marchand, Camille Levêque, Lucile Ribeaudeau. Dans le cadre du 6ème cycle art [espace] public, "Les nouvelles géographies culturelles", dirigé par Pascal Le Brun-Cordier. Organisé par le Master professionnel Projets culturels dans l'espace public (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, UFR 04 Arts plastiques et sciences de l'art), en partenariat avec Stradda, magazine de la création hors les murs. 

Vendredi 24 février 2012 à la Sorbonne, amphi de gestion, 1 rue Victor Cousin (place de la Sorbonne), de 19h à 21h, accueil dès 18h30). Précisions : http://www.art-espace-public.c.la 

 
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7. INFUSIONS ARTISTIQUES (1ère partie). Définitions, enjeux et effets. 

Aux antipodes de la diffusion artistique conventionnelle, certains artistes et acteurs culturels font le choix de "l'infusion”. Comment leurs projets sont-ils développés ? Que provoquent-ils ? Quelles nouvelles géographies artistiques et culturelles dessinent-ils ? Exploration illustrée et commentée avec Christophe Blandin-Estournet, directeur de CultureOCentre / festival Excentriques, Sarah Harper, Friche Théâtre Urbain, et Caroline Obin, Proserpine clown publique (Cie l'Apprentie Compagnie). Avec la participation de Danielle Bellini, directrice des affaires culturelles de Champigny-sur-Marne. 

Rencontre préparée par Camille Rondeau, Samia El Ouazzani, Cécile Demessine, Camille Levêque, Camille Simon. Dans le cadre du 6ème cycle art [espace] public, "Les nouvelles géographies culturelles", dirigé par Pascal Le Brun-Cordier. Organisé par le Master professionnel Projets culturels dans l'espace public (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, UFR 04 Arts plastiques et sciences de l'art), en partenariat avec Stradda, magazine de la création hors les murs. 

Vendredi 2 mars 2012, de 19h à 21h, à L’Avant Rue, 134 rue de Tocqueville, Paris 17ème, Métro Villiers ou Wagram. Boissons et restauration légère proposés sur place. Accueil dès 18h30. 
 

http://www.courrier-picard.fr/var/plain_site/storage/images/actualites/info-locale/compiegne-noyon-creil/les-artistes-du-cirque-actuel-entrent-en-piste/2787468-1-fre-FR/Les-artistes-du-cirque-actuel-entrent-en-piste_reference.jpg
 


8. INFUSIONS ARTISTIQUES (2ème partie) : Comment questionner le devenir urbain dans le temps long du chantier de la ville

Focus sur les projets du groupe Ici-Même Paris. Avec Mark Etc, directeur artistique. 

Depuis 2009, ICI-MEME [Paris] est à l’initiative de LIENS PUBLICS, programme d'actions et de créations hors les murs consacrées à la compréhension de faits urbains et LIENS PUBLICS s’adresse aux riverains dans les quartiers et propose des usages exploratoires et des protocoles d’exploration artistiques de la ville, pour se situer, comprendre et investir le cadre de vie. Les formes artistiques sont spécialement définies en fonction des lieux. Initiative hors norme, toutes les étapes de conception et de mise en oeuvre des projets s'échelonnent sur plusieurs années en résidence de quartier de façon à investir le temps du développement urbain. L’objectif est de questionner le devenir urbain. 

Focus sur 3 résidences de quartier en cours :
- quartier Saint-Blaise, Paris XXè (11 900 habitants) avec la création "AIRPOST, feuilleton fantastique"
- quartier de la Redoute, Fontenay-sous-Bois (3400 habitants), avec la création "POURQUOI QUELQUE CHOSE PLUTOT QUE RIEN ?, chronique graphique"
- quartier Masséna-Bruneseau dans la Zac Paris rive gauche au contact d’Ivry Port 20000 habitants, salariés, étudiants) avec les interventions de "EXPLORER LA FACE B".

Rencontre préparée par Sylvain Hardy, Valentin Szejnman, Cécile Demessine, Emilie Métris. Dans le cadre du 6ème cycle art [espace] public, "Les nouvelles géographies culturelles", dirigé par Pascal Le Brun-Cordier. Organisé par le Master professionnel Projets culturels dans l'espace public (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, UFR 04 Arts plastiques et sciences de l'art), en partenariat avec Stradda, magazine de la création hors les murs. 

Vendredi 9 mars 2012 à la Sorbonne, amphi de gestion, 1 rue Victor Cousin (place de la Sorbonne), de 19h à 21h, accueil dès 18h30). Précisions : http://www.art-espace-public.c.la

http://icimeme.info/files/gimgs/5_icimgravite26.jpg


9. LA FABRIQUE DE L'URBANITÉ. 

Expertise sensible, action artistique dans l'espace public, co-invention de projets urbains : comment les artistes contribuent-ils à la fabrique de l'urbanité ? Focus sur des projets développés par Maud Le Floch, urbaniste-scénariste, directrice du pOlau, pôle des arts urbains (Tours), et sur LIEU d'ÊTRE, projet artistique d'Annick Charlot, chorégraphe, compagnie Acte (Lyon), avec la participation de Farid Ayelem Rahmouni, danseur de la compagnie Acte. 

Rencontre préparée par Lucile Ribeaudeau, Cécile Demessine, Samia El Ouazzani, Camille Rondeau. Dans le cadre du 6ème cycle art [espace] public, "Les nouvelles géographies culturelles", dirigé par Pascal Le Brun-Cordier. Organisé par le Master professionnel Projets culturels dans l'espace public (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, UFR 04 Arts plastiques et sciences de l'art), en partenariat avec Stradda, magazine de la création hors les murs. 

Vendredi 16 mars 2012 à la Sorbonne, amphi de gestion, 1 rue Victor Cousin (place de la Sorbonne), de 19h à 21h, accueil dès 18h30). Précisions : http://www.art-espace-public.c.la

  

Archives des cycles 20072008200920102011. 17 entretiens vidéos réalisés en 2010.  

Programme complet (et inscription à la newsletter du Master, pour recevoir les prochaines alertes) : http://art-espace-public.c.la 

 

Cycle organisé en partenariat avec Stradda, magazine de la création hors les murs. 

En écho à ces rencontres, à lire dans Stradda n°23 un dossier sur les nouvelles géographies culturelles. www.stradda.fr

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Actualité du Master 2012-2013 !

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5 avril 2013 : dernière des six rencontres du cycle de rencontres-débats art [espace] public ! Plus de 1000 personnes ont assisté à cette nouvelle édition du cycle organisé par les étudiants du Master et l'association Objet(s) Public(s), sous la direction de Pascal Le Brun-Cordier et Samira Ouardi. Programme complet : ici

TRANS-305

 

Février 2013 : les étudiants participent au workshop de la Ktha Compagnie sur les Petits Urbanités Libres. En savoir plus : http://pul.ktha.org 

Qu’est-ce qu’une petite urbanité ? "Un espace le plus souvent petit, délaissé par l’urbanisme, sacrifié, inutile la plupart du temps. Un espace auquel on peut accéder depuis l’espace public, un entre deux, un interstice." (Ktha compagnie) 


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Novembre 2012 : participation à la 5ème édition de la ZAT - Zone Artistique Temporaire à Montpellier, et notamment au projet de Pierre de Mecquemem / La Machine ! 

 

 

 

Octobre 2012 : participation à la Nuit Blanche parisienne, rencontre avec les Frères Ripoulain, auteurs de Calderpillar, une des œuvres phares de la Nuit Blanche. 


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Eté 2012 : présence de nombreux étudiants du Master et de membres de l'association Objet(s) Public(s) aux festivals de Chalon sur Saône, Chalon dans la rue, et au festival d'Aurillac.  

 

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Le Master Projets culturels dans l'espace public dans La Scène !

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La_Sc__ne_n___65_4fd9b88ff0fc3.jpgLe magazine des professionnels du spectacle, La Scène, publie dans son numéro 65 un article intitulé "Y a-t-il trop de masters "culture" ?". Le Master Projets culturels dans l'espace public y est largement cité,  positivement. "Des 120 étudiants qui ont fréquenté le master Projets culturels dans l'espace public de l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, tous ont trouvé un emploi, profitant de leurs stages, des réseaux qu'ils ont su créer avec [les] trente intervenants. (...) Dès l'appel à candidature, les sélections sont "poussées" (350 dossiers pour 20 reçus) et durant la formation les étudiants sont invités à monter de véritables projets par petits groupes." 

Actualité du Master 2013-2014 !

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Octobre 2013 : Participation à la Nuit Blanche, voyage d'étude à Marseille pour participer au forum "Invisible Walls" organisé par le réseau européen In Situ, aux festivals Métamorphoses (Lieux Publics) et Actoral.

Carnet de voyage à Marseille des étudiants :

 

 

Septembre 2013 : rentrée du Master alternant rencontres professionnelles à HorsLesMurs, centre national de ressources des arts de la rue et des arts du cirque, rencontre avec d'anciens étudiants, et réunion de l'association Objet(s) Public(s).

 

 

Eté 2013 : présence de nombreux étudiants du Master et de membres de l'association Objet(s) Public(s) aux festivals Viva Cité, Chalon dans la rue et Aurillac.

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